Il existe un Psaume (LVI) que l’on lit pour quelqu’un qui est détenu !
Que l’on pourrait lire pour Guilad Shalit.
Au chef des chantres.
Sur Yonat Elem Rehokim. Mikhtam de David, lorsque les Philistins se furent saisis de lui à Gath.
Prends-moi en pitié, ô D.ieu, car des hommes veulent me dévorer, sans relâche, l’adversaire me harcèle.
Sans relâche, mes ennemis sont haletants (après moi), car nombreux sont ceux qui me combattent, ô D.ieu suprême, le jour où j’ai à craindre, c’est à Toi que je me confie.
Grâce à D.ieu, je puis célébrer son arrêt, en D.ieu j’ai confiance, je ne crains rien : que pourrait la créature contre moi ?
Constamment ils empirent ma condition, toutes leurs pensées ont pour but de me nuire.
Ils se concertent, se mettent à l’affût, observent chacun de mes pas, on dirait qu’ils guettent ma vie.
Pour cette injustice, Rejette-les, avec indignation jette à bas ces peuples.
Veuille compter, Toi, mes courses vagabondes, receuillir mes larmes dans Ton urne, oui, (les consigner) dans Ton livre !
Alors, mes ennemis, lâchant pied, reculeront, au jour où je T’invoquerai : je sais bien que D.ieu est pour moi.
Grâce à D.ieu, je puis célébrer son arrêt, grâce à l’Eternel, je puis célébrer son arrêt.
En D.ieu j’ai confiance, je ne crains rien : que pourrait l’homme contre moi ?
A moi, ô D.ieu, d’acquitter mes vœux envers Toi : je Te paierais des sacrifices de reconnaissance.
Car tu as préservé mon âme de la mort, et –n’est-ce pas ?- mais pieds de la chute, de sorte que je continue à marcher devant D.ieu, dans la lumière qui éclaire les vivants.
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