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MOI AUSSI !

 

I HAVE A DREAM !

Je rêve le monde solidaire de l’Etat d’Israël.

Je l’imagine qui préfère la Jérusalem tolérante et multiconfessionnelle à l’Al Quds qui urinait sur les stèles juives.

Privilégie l’accomplissement de la Terre promise au mythe de la Terre volée.

Répute légitimement acquis les territoires conquis au terme de guerres défensives.

Commémore la Shoah et répudie l’imposture d’une symétrie avec la Nakba comme celle d’une équivalence entre la Loi du Retour et le droit au retour.

Je le rêve encore

choisir le nom de Judée Samarie à celui de Cisjordanie pour berceau du futur Etat de Palestine.

Renoncer à la tromperie d’un destin politique commun aux Arabes de Judée Samarie et de Gaza.

Intégrer que la bande partage aussi une frontière avec sa mère biologique, culturelle et spirituelle, l’Egypte.

Condamner les assassinats collectifs de civils et refuser toute tribune au racisme antisémite des terroristes islamistes.

Bannir tous les acteurs au service du mensonge d’un obus israélien tiré sur une plage surpeuplée de Gaza, d’une urgence humanitaire dans la bande ou du viol commis par les soldats d’Israël sur des femmes palestiniennes ensuite sacrifiées sur l’autel de l’honneur familial.

Moquer la mise en scène du meurtre rituel d’enfants et mépriser la légende du siège d’une église occupée par des hommes en armes à Bethléem ou la fable nobélisée d’un génocide à Jenin.

Démasquer les organisations dont les membres masqués défilent le bras tendu à Gaza, Téhéran ou au Liban, ou impriment pour leurs enfants des livres qui leur feront longtemps préférer le culte de la mort au service de la vie.

Dénoncer le lien organique entre le credo politique du fondamentalisme islamiste et le racisme de l’idéologie nazie.

Réprouver mêmement les pulsions antisémites de la droite extrême et de la gauche radicale.

Je l’imagine aussi qui dédaigne l’exploitation et l’étalage indécents de la souffrance, ses cris trop bruyants et ses larmes trop brillantes, et partage dignement la douleur pudique d’un père qui enterre son fils.

Réapprend à distinguer l’extrémiste de l’activiste, le terroriste du résistant et le milicien du militant.

Demande des comptes à une cause qui s’abrite derrière ses enfants, femmes et vieillards dans les écoles, les marchés, les hôpitaux ou les mosquées pour viser d’autres enfants, femmes et vieillards.

Stigmatise les slogans des incendiaires et des indignés professionnels dans ses rues et sur ses plateaux de télévision, gratte et découvre sous leurs anathèmes la marque du ressentiment nihiliste, du préjugé haineux et d’une frivolité narcissique et esthétisante.

Renonce à questionner la légitimité morale de l’Etat d’Israël et son droit de jure à l’existence.

Convient que la création de l’Etat d’Israël signe l’acte de naissance de l’identité et des droits nationaux palestiniens.

Distingue la critique des gouvernements de l’Etat d’Israël de la critique de l’Etat d’Israël et conteste le boycott de ses livres.

Débusque l’inspiration et la pulsion antisémites dans les replis du discours antisioniste.

Confond le double langage des faux marchands de paix et fait la guerre à ceux qui font la guerre à la paix.

Je rêve ses dirigeants et faiseurs d’opinion applaudir à l’éthique et à la retenue d’une armée citoyenne qui répugne à tuer ses ennemis comme ceux-ci aiment sacrifier leurs enfants.

Proclamer comme le président américain à la Knesset que face au terrorisme et au Mal, leurs compatriotes sont tous juifs et Israéliens.

Déclarer que leur solidarité avec Israël est plus vitale encore que le pétrole qui étanche la soif de leurs voitures et avions, de leurs maisons et de leurs usines.

Faire résonner dans leurs villes la plainte longue et douloureuse d’une sirène le jour même où elle pétrifie les habitants de Jérusalem, Tel Aviv ou Sderot.

Rappeler les ambassadeurs des pays démocratiques en poste à Téhéran et déférer devant le TPI les génocidaires qui dirigent l’Iran et les organisations terroristes du Hamas et du Hezbollah.

Seconder activement Israël dans sa chasse aux derniers criminels nazis encore vivants.

Chasser de l’enceinte de l’ONU les guignols mandatés par les dictatures qui flétrissent sa charte et baptiser le cénacle ainsi assaini du nom d’ONUD, « D » pour « démocratiques ».

Installer dans le quartier des ambassades déménagées à Jérusalem, un Conseil des Droits de l’Homme débarrassé des caricatures qui moquent sa mission, et inclure la « Loi de Compétence Universelle » dans les attributions de la Cour Suprême d’Israël.

Applaudir à l’excellence économique, technologique et écologique d’Israël.

Je les entends enfin, les intelligences et les consciences du monde, prophétiser que ce n’est pas l’Etat d’Israël qui est la plus grande source de menace et d’instabilité pour la paix du monde, mais le manque de solidarité et d’empathie qu’elles lui ont témoigné ses premières 60 années d’existence.

Quand ce long rêve deviendra réalité et que les Palestiniens auront renoncé à emprunter, détourner et caricaturer les racines et les fidélités fondatrices de l’Etat d’Israël pour construire les mythes qui affirment leur légitimité, alors seulement ces Palestiniens devenus adultes auront leur Etat.

Alors seulement, cet Etat sera libre, indépendant, démocratique et pacifique.

Et le monde sera en paix. Avec lui-même.

En attendant, je vais compter jusqu’à 3.

1, 2, 3, je suis réveillé…

Isaac Franco, Bruxelles

Une expo que je vous conseille de ne pas louper ! (mon Don du ciel ressemble tellement à Grace Kelly, pour son côté Glamour !)

 Le mythe Grace Kelly
à la Mairie de Paris

G. P.
 
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Voilà qui mérite le détour. L'Hôtel de Ville de Paris accueille à partir d'aujourd'hui l'exposition Grace Kelly, présentée au Grimaldi Forum de Monaco, l'été dernier. Particulièrement riche en photos d'art, elle retrace tous les aspects du mythe Grace Kelly, à la fois mannequin et star de cinéma, princesse et mère de famille. Symbole d'une époque où une vie privilégiée n'allait pas sans souci du devoir. Issue d'une famille de la haute société de Philadelphie, révélée à vingt-trois ans dans Le train sifflera trois fois aux côtés de Gary Cooper, Grace Kelly devint ensuite une des actrices préférées d'Alfred Hitchcock avant de se marier avec le prince Rainier de Monaco, en 1956. Elle abandonna ensuite sa carrière pour se consacrer à son nouveau rôle public et y fit merveille jusqu'à sa mort prématurée en 1982.

Le Figaro.fr et recherches personnelles

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Israël - Syrie

Israël - Syrie
'' Si les Syriens recherchent véritablement la paix, ils doivent organiser un sommet entre le président syrien Bashar el-Assad et le Premier ministre israélien Ehoud Olmert'' a déclaré le président de l'Etat Hébreu, Shimon Pérès, dimanche

Précision importante !

Tous les articles qui sont copiés/collés sur ce blog sont le reflet de ma pensée, de mes idées et mes préférences ! Il ne faut donc pas prendre cela comme de simples vulgaires copies ! C'est une réponse à certaines mauvaises langues et mauvaises ondes ! Ne pas non plus considèrer ces copiés/collés, comme un simple manque d'inspiration de ma part !

Jean-Pierre Renard


Benoît XVI remet en vigueur la communion à genoux

Après la réhabilitation de la messe "tridentine" en latin et la réapparition des aubes en dentelle, Benoît XVI a fait dimanche un pas supplémentaire dans le retour aux usages liturgiques anciens en distribuant la communion aux fidèles agenouillés sur un prie-dieu.

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Après la réhabilitation de la messe "tridentine" en latin et la réapparition des aubes en dentelle, Benoît XVI a fait dimanche un pas supplémentaire dans le retour aux usages liturgiques anciens en distribuant la communion aux fidèles agenouillés sur un prie-dieu.

Ce retour à une pratique tombée en désuétude depuis une quarantaine d'années s'est fait durant une messe en plein air célébrée par le pape à Brindisi devant quelque 60.000 personnes.

Benoît XVI avait déjà procédé ainsi le 22 mai à la basilique St-Jean de Latran à Rome à l'occasion de sa précédente messe publique, mais l'événement avait eu moins de retentissement car le public était moins nombreux.

Les fidèles choisis pour recevoir la communion des mains du pape doivent donc désormais s'agenouiller devant lui sur un prie-dieu et accueillir l'hostie dans la bouche.

Depuis la réforme liturgique qui a suivi le concile Vatican II (1962-65), l'usage courant, moins intimidant, veut que les fidèles reçoivent l'hostie (un morceau de pain sans levain censé être "le corps du Christ") debout et dans les mains, avant de la porter eux-mêmes à la bouche.

Ils pouvaient cependant toujours opter pour la réception de l'hostie dans la bouche, mais debout.

L'agenouillement, qui n'a jamais été interdit, restait cantonné aux paroisses traditionalistes.

En y recourant lui-même, Benoît XVI entend donner l'exemple à toute l'Eglise et surtout à son clergé.

"Nous, chrétiens, nous nous agenouillons seulement devant le Saint-Sacrement (l'hostie) parce que, en lui, nous savons et croyons être en présence de l'unique et vrai Dieu", avait-il dit le 22 mai.

"Je suis convaincu de l'urgence de donner à nouveau l'hostie aux fidèles directement dans la bouche, sans qu'ils la touchent" et "de revenir à la génuflexion au moment de la communion en signe de respect", avait-il ajouté.

Les modifications liturgiques introduites par Benoît XVI depuis plusieurs mois vont toutes dans le sens d'un retour à des usages que l'on croyait tombés en désuétude après le grand vent de réformes de Vatican II.

Par ailleurs, le pape Benoît XVI a lancé de Brindisi un "message de paix et de coopération à tous les peuples" et particulièrement "à ceux du Proche et du Moyen-Orient".

"De ce lieu aussi évocateur, je désire renouveler le message chrétien de coopération et de paix entre tous les peuples, particulièrement entre ceux qui bordent cette mer, antique berceau de civilisation, et ceux du Moyen et du Proche-Orient", a-t-il dit.

Brindisi, sur la côte adriatique, accueille un dépôt d'aide humanitaire d'urgence de l'ONU (UNHRD) géré par le Programme alimentaire mondial.

Ce site a été choisi à la suite de l'arrivée massive d'Albanais attirés par le rêve de l'eldorado occidental et de réfugiés fuyant les guerres dans l'ex-Yougoslavie dans les années 1990.

Il a rendu hommage au travail du dispositif de l'ONU à Brindisi "qui joue un rôle important sur le plan humanitaire".

Benoît XVI renouvelé sa conviction exprimée en avril devant l'assemblée générale de l'ONU à New York, de la légitimité de l'intervention de la communauté internationale en cas de crise, soulignant que "c'est l'indifférence ou la non-intervention qui causent de réels dommages".

Durant la prière de l'angelus dimanche, il s'est adressé à "tous les peuples du monde" depuis "ce morceau d'Europe en Méditerranée, promontoire entre l'Orient et l'Occident", sans cependant s'attarder sur aucune situation particulière.

Au premier jour de sa visite samedi, le pape avait déjà loué la "générosité" du peuple de Brindisi où ont débarqué des dizaines de milliers de réfugiés "de Croatie et du Monténégro, d'Albanie et de la Macédoine".

Brindisi a déployé une débauche de mesures de sécurité pour accueillir le pape.

Les rues du centre ville nettoyées de frais avaient été fermées à toute circulation dès samedi matin et des vedettes des garde-côtes ont patrouillé face à l'esplanade donnant sur le port où le pape a célébré la messe dimanche matin devant quelque 60.000 fidèles.

Dans son homélie, Benoît XVI a insisté sur l'engagement social de l'Eglise catholique, au nom de "l'amour du Christ pour les petits et les pauvres".

"La compassion chrétienne n'a rien à voir avec le piétisme ou l'assistanat, elle est synonyme de solidarité et de partage et elle est animée par l'espérance", a-t-il dit.

Le Point.fr


Une semaine encore assez mouvementée !

                       Ce fut d'abord, lundi dernier, ma défaite assez honnorable, pour l'élection des membres de l'Amicale du personnel de la Mairie ou je travaillle ! J'ai fait 98 voix sur 227 votants (alors, que je n'y travaille que depuis 14 mois !) !

                    Puis, depuis 15 jours, je remplace le Responsable des achats dans cette même Maire (ou j'ai réalisé un sacré travail, car, tout était à reprendre ! Ce qui ne fut pas facile, en fonction de mes lacunes dans certains domaines ! Merci du fond du coeur, à celui et à celle qui m'ont donné cette chance de prouver que je vallais mieux que ce qu'on me fait faire depuis plusieurs mois ! J'espère que cette mission ne s'arrêtera pas lundi ?)...

                 Puis, ma destitution par de trés petits esprits trés étriqués et si peu courageux, de mon poste de Délégué de ville UMP de Pierrefitte.

                Puis, je me suis encore fait agrèssé par l'ex de mon Don du ciel (j'ai si peur qu'is fêtent ensemble et avec leurs trois enfants, demain, la fête des pères ! Pendant que moi, je serai tout seul, couché dans le noir et abandonné par tous !)! Je lui ai acheté, il y a quelques jours, un beau coffret de produits de beautés venant du Maroc, elle n'a pas voulu les prendre !!!

               Puis, j'ai retrouvé deux de mes amis trés chers avec qui je m'étais à nouveau ridiculeusement et stupidement brouillé, il y a quelques semaines: Mike Borowski et Madi Seydi. 

              Puis, j'ai encore passé mon temps à "courrir" aprés celle que j'aime (nous devions partir ensemble, ce week-end, à Etretat. Et elle m'a une nouvelle fois planté !). Alors qu'elle a passé son temps à me faire des promesses qu'elle n'a malheureusement pas tenu et à me repousser ensuite !

             Puis, les petits mots pas trés sympathiques de mon père, tous les matins, sur le pare- brise de ma voiture ! Mes horribles migraines et mes affreux cauchemars (lors du peu d'heures ou j'arrive à dormir chaque nuit !)...!

             Lundi matin, il faudra que je retourne travailler à quelques centaines de cet appartement ou mon Don du ciel habite avec ses filles et surement avec Jaafar/Farid (son ex) ! Cet appartement que j'ai obtenu et rénové, pour vivre avec elle et ses filles ! Imaginez-vous le calvaire que c'est pour moi !? Malgré cela et les souffrances que Nawal me fait endurer chaque jour, je l'aime de plus en plus !!!

Jean-Pierre Renard


Une conférence et un repas à n'absolument pas louper !

Des ors de Versailles au crépuscule des lys…

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Mercredi 18 juin 2008, si la cravate noire ne sera pas de rigueur, le thème du « Mercredi de la NAR »ne nous incitera pas à de joyeuses agapes… L’invité de la soirée est notre ami Philippe Delorme qui nous présentera son dernier livre : « Les princes du malheur »…
Le destin tragique des quatre enfants de Louis XVI et de Marie-Antoinette…

Si l’histoire tragique et oh ! combien triste de l’Enfant du Temple, le roi-martyr Louis XVII, retient toute notre attention, Philipe Delorme nous fera revivre le quotidien des enfants royaux de Versailles au sordide cachot du Temple :
Marie-Thérèse Charlotte, future duchesse d'Angoulême 1778-1851) ;

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Marie-Thérèse de France

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Marie-Thérèse de France. 1795

un premier dauphin, Louis 1781-1789 ;

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Louis Joseph Xavier François  de France

Louis XVII ;

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Louis Charles de France – Louis XVII -

et une dernière fille, Sophie Hélène Béatrice, née en 1786 et morte à onze mois…

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Sophie Hélène Béatrice de France

Nous vous donnons donc rendez-vous mercredi 18 juin 2008 au 17, rue des Petits-Champs, Paris 1er, 4e étage.
La conférence commence à 20 heures très précises (accueil à partir de 19 h 45 - Entrée libre, une participation aux frais de 1,50 euro est demandée). Vers 22 heures, nous poursuivrons autour de la  table du Chef Yvan.
Participation aux frais du dîner : 5 euros.