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Toutes mes fellicitations.

Jean Sarkozy fiancé !

Les familles ont fêté ça hier !
Jean Sarkozy fiancé !
Hier, la famille Sarkozy et la famille Darty étaient réunies pour célébrer un bel événement : les fiançailles de Jean et de Jessica autour d'un très beau dîner intimiste.
Pour l'occasion, Jean Sarkozy a orné le doigt de sa bien-aimée d'un énorme diamant acheté chez Tiffany, avenue Montaigne, ce qui a ravi Jessica Sebaoun, fille d'Isabelle Darty.
Etaient présents au dîner Nicolas Sarkozy et Carla, Brice Hortefeux, parrain de Jean, ainsi qu'Isabelle Balkany, la marraine.
Le mariage devrait avoir lieu à l'automne

Les deux citations de la semaine:

"À mes yeux la valeur d'un homme ne dépend ni de ce qu'il apprend ni de sa position ou renommée ni de ce qu'il fait mais, de ce qu'il est et devient intérieurement !"

Jean-Pierre Renard

"Le Seigneur a voulu, et tu réaliseras. Une lumière nouvelle poindra sur la terre. Un monde nouveau naîtra. Et les choses promises s'accompliront !"

Jean-Pierre Renard


Quel gigantesque gâchis !

Ligue 1: Pauleta dit stop !

 

Arrivé au terme de son contrat avec le Paris Saint-Germain, Pedro Pauleta a annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière. Le Portugais a expliqué à la radio TSF qu'il n'avait pas trouvé de challenge suffisamment intéressant pour continuer. L'attaquant est âgé de 35 ans.

FOOTBALL 2007-2008 PSG - Pauleta - 0

L'Aigle des Açores ne déploiera plus ses ailes sur les rectangles verts. A 35 ans, Pauleta a en effet annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière. En fin de contrat avec le PSG le 30 juin, l'attaquant portugais n'a pas reçu la proposition qu'il espérait pour retarder un peu l'échéance. Un temps évoquées, des pistes menant au Benfica ou au Sporting Portugal ont été abandonnées. Les offres les plus intéressantes émanaient finalement de clubs des Emirats Arabes Unis ou du Qatar, mais le challenge ne lui correspondait pas. "J'ai fini ma carrière. J'espérais avoir une bonne proposition mais elle n'est pas venue", a-t-il expliqué à la radio TSF.

Meilleur buteur de l'histoire du PSG avec 109 réalisations, meilleur buteur de l'histoire de l'équipe nationale portugaise avec 47 buts en 88 sélections, Pauleta quitte donc le monde du football professionnel au terme d'une carrière bien remplie. Et qui ne l'aura jamais vue porter une seule fois le maillot d'une équipe du championnat portugais. Révélé en Espagne, à Salamanque et surtout au Deportivo La Corogne, c'est en France que l'Aigle des Açores a littéralement explosé.

Paris ne voulait pas le prolonger

D'abord à Bordeaux. Dès son premier match, Pauleta fait parler de lui en inscrivant trois des cinq buts bordelais pour une victoire de prestige chez le rival nantais. La France découvre ce joueur, guère impressionnant par son gabarit mais très bon technicien. Et surtout doté d'un sens du but sans égal. Le Portugais ne tarde pas à se faire une réputation de tueur des surfaces. Après trois saisons à Bordeaux, au cours desquelles il inscrit 91 buts toutes compétitions confondues, il est transféré au PSG pour 8 millions d'euros. Dès sa première saison, il contribue largement à conduire le club de la capitale en Ligue des Champions et inscrit le but vainqueur face à Châteauroux en finale de la Coupe de France en 2004.

La suite s'annonce prometteuse mais ne sera que porteuse de déceptions, jusqu'à cette ultime saison où Paris a dû attendre la dernière journée pour assurer son maintien. Pauleta a cependant toujours été épargné par les critiques qui se sont abattues sur son équipe. Buteur prolifique, c'est aussi pour son état d'esprit qu'il était apprécié. Des qualités mentales incarnées par son brassard de capitaine de Paris, qu'il aura donc porté pendant quatre ans.

A la fin de la saison dernière, au cours de laquelle il a remporté son dernier titre sous le maillot parisien avec une Coupe de la Ligue, Pauleta s'était déclaré déçu de voir que le club de la capitale ne lui proposait pas de prolonger son contrat. Il avait disputé son dernier match avec Paris lors de la défaite face à Lyon en finale de la Coupe de France (1-0) avant de quitter les bords de la Seine. Le Portugais rêvait d'une fin de carrière dans son pays, notamment à Benfica, le club de son coeur. Mais la proposition du club lisboète n'est pas venue, et il s'est résigné à mettre un terme à sa carrière. L'Aigle des Açores s'envole désormais vers d'autres projets.

Vincent BREGEVIN / Eurosport


Voici, la Paracha de cette semaine

La Faute des explorats

La question lancinante qui traverse toute la Parachat shélah’ lékha, réside entièrement dans le contraste qui existe entre, d’une part,  l’insistance des versets sur la valeur éminente des « explorateurs » choisis par Moïse, et, d’autre part, la gravité de leur faute et de ses conséquences, puisqu’elle conduisit à l’anéantissement de la génération (des pères) des hébreux sortis d’Egypte. En effet, le début de notre section hebdomadaire insiste lourdement sur leur stature, par l’emploi répété des termes anashim, ish et rashé (versets 2, 3 et 16, du chapitre 13 du Livre des Nombres), qui qualifient toujours, selon nos Sages, des çadiqim (des « justes »). Comment, dès lors, comprendre, que de telles personnalités aient pu décourager tout un peuple d’entrer en terre de Canaan, ceux-là mêmes qui ont vu à l’œuvre la toute puissance divine, osant dire à la face de Dieu que le peuple cananéen « est plus fort que nous », voire selon une autre lecture, « que Lui (Dieu) »[1]. De nombreuses tentatives de réponses à cette question existent. Nous en citerons une, qui provient du Zohar Ha-qadosh, dont la simplicité apparente n’en est pas moins éprouvée dans la réalité. Les « explorateurs », tous chefs de tribus, désiraient conserver leurs fonctions, dont ils savaient qu’elles leur seraient retirées pour être transmises à d’autres, lorsqu’ils entreraient en Canaan. En demeurant dans le désert, ils continueraient de diriger. Il leur fallait donc trouver un moyen de faire échouer la dernière étape qui concluait l’exode d’Egypte et la théophanie. Il est probable qu’ils devaient se trouver les meilleures raisons de s’attacher ainsi à leur magistère, mais en définitive, l’attrait du pouvoir est tel, que même les plus grands s’y brûlent les ailes. « Rabbi El’azar Haqappar dit : la jalousie, le désir et les honneurs font sortir l’homme du monde ».

Rabbin Michael AZOULAY