18 mai 2022
18 mai 2022
18 mai 2022
Il y a un an, le chauffeur de bus Philippe Monguillot a été lynché, massacre au sol jusqu’à y laisser la vie.
Un juge a décidé qu’aucun de ses agresseurs - Mohamed C., Mohamed A., Mousse B. et Selim Z. - ne comparaîtrait aux assises, devant un jury populaire.
Une honte, judiciaire et morale.
Jean-Pierre Renard
Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Ancien Délégué RN de la 1ère et de la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis
Ancien Responsable de l'animation du RN 93
Membre actuel de L'Alliance Royale
11 mai 2022
L’Alliance royale est une formation politique royaliste fondée en 2001 par Yves-Marie Adeline.
Elle est aujourd’hui présidée par Pierre Bernard, ancien député maire de Montfermeil, et par Cyrille Henrys, vice-président et ancien délégué général. Elle est dirigée par Olivier Leconte, l’actuel délégué général, assisté dans cette fonction par un conseil d’administration et un bureau politique.
Les membres de l’Alliance royale sont des citoyens français de bonne volonté désireux d’agir pour le bien de leur pays et considérant que la solution royale est la seule réponse possible à la profonde crise institutionnelle, politique, sociale et morale que traverse notre pays. Ils estiment que le discours politique ambiant tourne en rond en s’attaquant aux symptômes plus qu’aux maux parce qu’il est crispé dans la justification d’un système politique en faillite.
Erigée en parti politique en 2003, elle a pour objet de proposer, principalement par les moyens électoraux, des réformes des institutions, des lois et des politiques inspirées de l’héritage monarchique et d’une manière générale de faire resurgir dans le débat public français et international la question de cet héritage.
Son domaine d’action se situe à la fois sur le terrain des élections, du militantisme et de la réflexion politique ; elle présente en effet des candidats royalistes où cela est jugé opportun et a participé à la plupart des élections depuis les européennes de 2004 ; elle est constituée de délégations territoriales, réparties sur le territoire français, qui ont pour mission de fédérer les adhérents et d’entrer dans le paysage politique par leur action militante, médiatique et électorale ; elle a développé et continue de développer des propositions politiques concrètes pour un royalisme actualisé et adapté aux défis du XXIe siècle ; affranchie du carcan idéologique républicain, elle dispose, à ce titre, d’une totale liberté de pensée.
L’Alliance royale en tant que telle ne soutient aucun prince, considérant que ce rôle incombe à d’autres mouvements ; la désignation d’un successeur est d’ailleurs prématurée compte tenu de l’état des esprits ; elle ne sera pas le fait d’un parti politique et impliquera nécessairement tous les Français.
10 mai 2022
Le 10 Mai 1932:
En France, Albert Lebrun est élu Président de la République Française C'est le dernier président de la IIIe République.
06 mai 2022
Communiqué de Presse:
Je me permets de vous annoncer qu'après 33 ans à œuvrer au sein des partis politiques classiques français et mon expérience avec le RN après 8 mois, qui s'est très mal pour moi ou j'ai été traité comme une merde et trahi par la direction du RN 93...Comme l'avait fait la direction LR 93 après 19 années passées à leur service et à défendre leurs couleurs, je viens juste officielle de rejoindre le seul parti politique Monarchiste français: "L'Alliance Royale": https://allianceroyale.fr/
J'ai décidé d'assumer à 110% mes réelles convictions et d'abord, ce que j'ai toujours été: un Monarchiste puis un gaulliste.
Amitiés,
Vive la France !
Vive les Rois et les Reines qui ont fait l'Histoire de France !
Vive Louis XX !
Jean-Pierre Renard
Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Membre de L'Alliance Royale
Membre de l'Institut de la Maison de Bourbon
Membre du Souvenir Vendéen
Membre du Cercle d'Action Légitimiste
Membre des Amis de la Fondation Charles de Gaulle
03 mai 2022
Communiqué de Presse:
Il y a parfois dans la vie des décisions qui vous déchirent le cœur, des choix qui transforment votre esprit en un océan de tourments. Je comprends que mon renoncement à présenter ma candidature aux élections législatives ait pu susciter de l'incompréhension auprès de certains d'entre vous. J'admets aussi qu'elle puisse vous paraître illogique après le résultat honorable qui a été le mien à l'élection présidentielle et qui m'a porté en deuxième position dans ma circonscription notamment.
Malgré cela, il m'est apparu évident, que ce n'était plus à l'Assemblée nationale que mon combat, engagé depuis plus de 45 ans, devait se poursuivre.
Durant ces 20 dernières années, je me suis efforcé de rendre aux Basques et aux Béarnais ce qu'ils m'avaient donné en me choisissant pour porter leur voix si singulière dans l'hémicycle.
Je n'oublierai rien de cet honneur et des moments que nous avons partagés.
Il faut savoir, je crois, avoir le courage de prendre des décisions lorsqu'elles s'imposent. Dans le contexte politique actuel, il m'a semblé que je n'étais plus la bonne personne pour assurer cette charge si engageante mais tellement passionnante. Mes combats et mes convictions ont fait de moi un adversaire résolu de cette oligarchie financière qui s'est emparée de tout. J'ai pu le constater à nouveau lors de la dernière élection présidentielle.
Les habitants de la 4ème circonscription des Pyrénées-Atlantiques méritent d'avoir un député qui peut les défendre sereinement.
La France a trop souffert du manque de courage de sa classe politique. Je ne veux pas m'inscrire là-dedans en restant accroché à un mandat que je ne pourrai pas honorer de la meilleure des façons. Je fais partie de ceux qui croient encore en la parole donnée et en sa valeur. En me représentant de nouveau aux législatives, je trahirais ceux qui ont cru et croient encore à ce que je porte de cette manière-là.
Comme vous avez pu l'entendre, j'ai proposé à mon frère Julien de reprendre le flambeau en étant candidat sur cette circonscription pour le mouvement Résistons! Non pas parce qu'il est de mon sang mais simplement parce que je suis persuadé qu'il est en mesure de continuer la lutte avec la bienveillance et la force qu'elle exige. Je l'ai vu souffrir comme j'ai rarement vu souffrir. Il n'a jamais baissé les bras, il ne s'est jamais départi de ce sourire qui jusqu'à son dernier soupir éclaira le visage de notre père. Ses yeux connaissent les moindres parcelles de notre territoire et ses mains la valeur du travail qui nous est si chère.
J'ai voulu, tout au tout au long de mon engagement en politique contribuer à ouvrir une voie. Rebaliser le sentier, étroit, qui mène à la liberté et qui, depuis trop longtemps, a été laissé en proie aux plus grands prédateurs. Je l'ai fait, au début, avec la fougue de la jeunesse. Je continuerai avec la force du sage qui est au crépuscule de sa vie et la résilience de celui qui a sciemment affronté la mort alors qu'il chérit tant la vie.
A mes ami(e)s, compagnons de longues dates, aux gens qui m'ont découvert récemment et qui ont vu en mon combat une lueur d'espoir pour notre devenir dans ce monde qui n'a plus de repère. A tous ceux qui se font encore une certaine idée de la France, de la démocratie et de la civilisation. A tous ceux qui croient qu'il existe encore une issue pacifique aux crises que nous traversons. A ceux-là, je les exhorte de ne pas céder à la résignation. Je suis conscient qu'il est des montagnes dont on ne voit jamais le sommet tellement leurs ascensions sont difficiles et semées d'embûches. Cependant, je suis certain que le chemin que nous avons décidé d'emprunter est plus long, plus raide mais qu'il est le seul à nous rapprocher du soleil avec certitude. J'ai consacré toute ma vie aux autres, parfois au dépend de la mienne. Il est minuit moins dix mais il n'est pas trop tard pour reprendre notre destin en main. Pour redonner à notre pays sa grandeur, son rayonnement et son caractère universaliste qui a tant apporté à l'humanité par delà les mers et les océans. Parce qu'il ne nous appartient pas, parce que nous avons juste le droit de passer et de le servir.
Ce lundi 2 mai 2022 marquera quoi qu'il arrive, la fin d'un grand chapitre de ma vie et le début d'un autre que je veux continuer à écrire avec vous.
Je vous remercie, toutes et tous, de la considération que vous aurez portée à un simple fils de bergers qui aura tenté tout au long de sa vie, à sa manière, de rendre à son pays et ses compatriotes ce que ces derniers lui auront apporté.
Haut les cœurs, vive la France.
Jean Lassalle
Député français
Ancien candidat à l'élection présidentielle française en 2017 et en 2022
26 avril 2022
Et toujours l’étrange vote électronique
A l’issue du premier tour de la présidentielle, j’avais écrit que 67,2 % des villes où il y avait des machines à voter, avaient voté Macron. Ceci alors qu’il se passait l’inverse dans l’ensemble des communes au premier tour de l'élection présidentielle, avec Marine Le-Pen gagnante dans 20.036 communes, soit 57.12% et Emmanuel Macron, dans 11.861 communes, soit 33.81%. Il est bien évident que si le nombre de villes compte, la taille des villes compte encore plus et l’électorat de Macron est surtout urbain, tandis que celui de Le-Pen est plutôt rural. En reprenant, au second tour, la liste des 64 villes, où il y a des machines à voter, on s’aperçoit que neuf communes seulement n’ont pas voté Macron, c’est à dire que le pourcentage des machines qui vote Macron passe à 85,93 %, alors que le nombre de communes où l’on vote Le-Pen, au niveau national, reste supérieur à celui où l’on vote Macron. Et dans les communes électroniques, certains scores de Macron dépassent les 80 %. On s’aperçoit également que toutes les communes électroniques qui avaient voté Mélenchon au premier tour, ont voté Macron au second tour. Si on y ajoute ces photos qui tournent en boucle, captures d’écran de France-2, avec des totaux de voix qui fluctuent à la baisse pour Le-Pen, il y a de quoi se gratter la tête. Pour la télé, il paraît que ça tient du bug informatique. Pour les machines aussi, ça doit tenir du bug. Et on va dire que les bugs votent Macron. Comme de toute façon, même les intéressés ont l’air de royalement se fiche des incohérences et que tous ceux à qui on demande d’acter les yeux fermés, actent les yeux fermés. On va dire que l’on est dans une nouvelle démocratie, celle du bug informatique orienté.
Pierre Duriot
Porte-Parole du Rassemblement du Peuple Français
26 avril 2022
Le vote "Macron" ne peut pas être un choix Gaulliste
Une droite autoproclamée "gaulliste", dite "de gouvernement" appelle à voter Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle, soit par conviction soit pour faire barrage à « l’extrême droite » en France qu’incarnerait la candidature de Marine Le Pen.
Nous avons même pris connaissance d'une tribune parue ce mardi dans laquelle une quarantaine de personnes qui se revendiquent comme du gaullisme de coeur et de conviction, appelant à voter en faveur d'Emmanuel Macron.
Historiquement, il est exact que l’extrême droite française, celle de la collaboration durant l’occupation et celle qui refusait la décolonisation d’après-guerre, a toujours traité le général de Gaulle en ennemi, au point de chercher à attenter à ses jours lors de nombreux attentats contre l’ancien chef de la France Libre.
Notons pour débuter que cette situation est historiquement datée, que les acteurs de cette tragédie française sont aujourd’hui morts ou totalement inactifs politiquement. Aucune comparaison sérieuse ne peut être faite aujourd’hui avec leurs successeurs : Le gaullisme politique est moribond et l’extrême droite française s’est profondément réformée avec l’accession de Marine Le Pen à la tête du Rassemblement National.
Observons ensuite que le lointain successeur du fondateur de la Vème République, Emmanuel Macron, a achevé de détruire durant son mandat, par sa pratique présidentielle, l’esprit de notre constitution. Le Général de Gaulle considérait que le référendum et l’élection du président au suffrage universel direct étaient les deux clés de voûte de nos institutions.
Or Emmanuel Macron a perverti le sens de l’élection présidentielle, cette rencontre dans un esprit de rassemblement d’un homme et de son peuple autour d’un grand projet politique. L’actuel président n’a eu de cesse de mener campagne depuis 5 ans dans un esprit de division et de mépris des Français.
Force est de constater par ailleurs qu’Emmanuel Macron, comme ces derniers prédécesseurs, a refusé le recours au référendum alors même qu’il était confronté à des crises sociales majeures, tendant à contester la légitimité de son élection. C’est une violation manifeste de l’esprit de notre constitution.
Sur le plan économique et social, le Général de Gaulle était adepte d’une République participative et sociale, aux antipodes de l’ultralibéralisme professé par le promoteur de la « start-up nation », Emmanuel Macron.
Enfin sur le plan européen et international, de Gaulle n’avait de cesse de promouvoir l’indépendance et la grandeur de la France, là où Emmanuel Macron livre aujourd’hui à ses ennemis une France abaissée et vassalisée. Le Général entretenait une certaine idée de la France alors qu’il n’existe pas même de culture française, pour Emmanuel Macron. La France était sous la direction de Charles de Gaulle un recours, une alternative face aux impérialismes, elle n’est plus aujourd’hui, sous Emmanuel Macron, qu’un acteur secondaire à la solde de l’hégémonisme américain.
De prétendus gaullistes nous disent aujourd’hui le contraire.
Pour notre part nous n'utiliserons pas la mémoire du général pour soutenir un candidat qui ne soit pas lui-même, réellement gaulliste. Les Français sont libres de voter pour qui ils l'entendent.
Néanmoins une chose est certaine, le vote "Macron" ne peut pas être un choix qui nous convienne en tant que gaullistes.
Pour le RPF
Nicolas Stoquer
Sébastien Nantz
Pierre Duriot
Jean-Pierre Jabouina-Clément
François Xavier Louis
Gilles La Carbona
Simone Bêche-chevaleyre
Martin Horrocks
Maryse Giordano
Paola Calvin
Cyril Talbot
Jacques Augait
Joel Rigolat
Yvon Rogard
François Zimmermann
Mario Kekic