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Par François-Xavier Bellamy.

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«Pour la première fois dans notre histoire, il faudra présenter un document de santé pour effectuer les actes les plus simples du quotidien - prendre un train, entrer dans un magasin, aller au théâtre. L’accès à un espace public sera différencié selon nos données de santé. 

Comment une telle révolution peut-elle s’opérer avec une justification si faible, sans vrai débat parlementaire, et en caricaturant tous ceux qui osent s’en inquiéter ?

Ce combat n’est pas individualiste, au contraire : c’est se sentir vraiment responsables d’un bien commun essentiel que de défendre cette liberté aujourd’hui gravement menacée. Il y a là un défi de civilisation : la France doit montrer qu’une action publique efficace, même en période de crise, n’impliquera jamais d’abandonner les règles intangibles qui fondent nos démocraties. 

Les libertés fondamentales, l’égalité des droits, l’amitié civique, ne sont pas des privilèges pour temps calmes, mais des principes qui nous obligent.»

Député européen LR


Le 15 juillet 1815:

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Au port français de Rochefort, bloqué par la Royal Navy, l'Empereur français Napoléon Ier monte à bord du HMS Bellerophon et se rend aux Britanniques. C'était la dernière fois de sa vie que notre bien aimé Empereur mettra les pieds sur le sol de France. 


Mon discours du 14 juillet 

Etre français ?

C’est s’agenouiller devant personne d’autre que celle qu’on aime ou celui qu’on prie.

C’est tressaillir à la vue de la Légion qui descend les Champs-Elysées.

C’est s’émerveiller devant un paysage façonné depuis des siècles par les mains rugueuses de nos paysans.

C’est préférer Austerlitz à Waterloo.

C’est assumer toutes les pages de notre histoire.

C’est recevoir quiconque est menacé dans son pays.

C’est exiger qu’on se plie à notre mode de vie quand on vient frapper à notre porte.

C’est garder en mémoire - comme un trésor – le souvenir de ceux qui ont fait ce que nous sommes.

C’est un clin d’œil échangé au bout du monde.

C’est une galanterie qui nous fait nous effacer devant une dame.

C’est le souvenir d’un préau d’école et des tables de multiplication.

C’est le visage d’une femme qui ne se dérobe pas au regard.

C’est un poème de Victor Hugo à sa fille Léopoldine : « Demain dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne. Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. »

C’est une Marseillaise que l’on n’entonne pas seulement en début de match.

C’est défendre des mots – la nation, le peuple, nos frontières – quand d’autres les brocardent.

C’est être persuadé que ce que l’on fait peut être plus grand que ce que l’on est.

C’est se mettre au service des autres et s’oublier un instant.

C’est être un sous-préfet au milieu des siens le jour de la fête nationale.

C’est prendre des risques pour son pays, pour ses idées, pour ses convictions et ne pas se contenter de paroles et de discours.

C’est aimer son pays au point de savoir lui sacrifier sa réputation et, parfois, sa liberté ou sa vie.

C’est se dire français, le vivre tous les jours, chaque instant, comme une prière à cette histoire, à cette civilisation qui sont les nôtres et qui font battre nos cœurs.

Robert Menard 

Maire de Béziers 


OFFICIEL !

Donnarumma s'engage avec le Paris Saint-Germain jusqu'en 2026 !! 🔴🔵

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Donnarumma: "Je suis très heureux de faire partie de ce grand club qu’est le Paris Saint-Germain. Je me sens prêt à relever ce nouveau défi, et continuer à grandir ici. Avec Paris, je veux gagner autant que possible et donner de la joie aux supporters."