Info Pierrefitte:
D’après le communiqué la fin du ramadan sera le samedi 23 Mai. L’AID sera le dimanche 24 Mai. Au nom de Notre France, des Républicains et des gaullistes de Pierrefitte, je souhaite une bonne fin de Ramadan et une bonne fête de l'Aid à toute la communauté musulmane de notre village de Pierrefitte. Ainsi qu'à tous mes autres amis musulmans d'ailleurs.
Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Je suis Monarchiste/Templier version 2020/Bonapartiste/Gaulliste/catholique-traditionaliste/boulangiste/Patriote/Souverainiste, Nationaliste, Clementiste, j'aime le Président de la Sainte Russie: Vladimir Poutine, Saint Jean-Paul II, les Généraux vendéens contre-révolutionnaires de 1793, Jeanne d'Arc, Didier Raoult, Éric Zemmour, Christophe Chalençon, le Colonel de La Rocque, Henri Guaino et Nicolas Dupont-Aignan (car c'est la seule grande voix de la Droite française à dire et à scander certaines vérités pendant ce confinement et cette "drôle" de guerre). Je suis Sioniste et très fier de l être ! Pour une certaine idée de la France et pour des valeurs nobles que je défendrai jusqu'à ma mort ! Mon rêve le rétablissement de la Monarchie en France avec un système constitutionnel...!
Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Ascension, que fêtons-nous ?
Située entre Pâques et la Pentecôte, l’Ascension est en lien avec ces deux événements. Quel est le sens de cette fête qui a lieu le 21 mai 2019 ? Pourquoi l’Ascension est-elle célébrée un jeudi ? Explications.
Le jour de l'Ascension tombe toujours un jeudi. Pourquoi ? Parce que cette fête se célèbre quarante jours après le dimanche de Pâques, jour de la Résurrection de Jésus. Donc, faites le compte...
Ce nombre de quarante jours provient du livre des Actes des Apôtres où Luc écrit que Jésus «pendant quarante jours, était apparu aux apôtres et les avait entretenus du Royaume de Dieu» (Actes 1, 3). L’Église a retenu ce chiffre alors que pour les évangiles de Marc ou de Luc aucune mention n'est faite de ce délai de quarante jours. Bien au contraire leurs récits se gardent bien de donner le moindre délai, comme si les événements de la Résurrection de Jésus, les apparitions du Ressuscité, son ascension et le don de l'Esprit étaient une seule et même réalité.
Quarante jours après Pâques
Toujours est-il que depuis le IVe siècle, l’Église a fixé la date de cette fête quarante jours après Pâques. Il y a clairement l'intention de faire le pendant aux quarante jours du Carême : après quarante jours de prières et de jeûnes, autant de jours de fêtes et de joie !
Assez rapidement, la tradition chrétienne a situé l'Ascension sur le lieu du mont des Oliviers. Jardin en face de la ville de Jérusalem, lieu de rencontre habituel de Jésus et de ses disciples. Sur place, la tradition dit qu'on peut même voir la trace des pieds de Jésus qui serait restée sur le rocher !
Entrer dans la gloire de Dieu
De toutes les façons il est inutile de chercher à connaître, malgré les précisions données dans les récits bibliques, les conditions réelles de cet événement. Ce qui, en revanche, est plus manifeste - et tel est le sens premier qui apparaît dans les récits bibliques -, c'est la signification que revêt cet événement : en montant aux Cieux, Jésus exprime ce que signifie sa résurrection d'entre les morts, à savoir entrer dans la gloire de Dieu. Tel est aussi notre avenir : entrer nous aussi dans cette gloire du Père qui nous est promise.
Très rapidement, cette fête a connu une très grande importance. En France, lors du concordat signé entre Bonaparte et le pape Pie VII, l'Ascension est restée l'une des quatre fêtes d'obligation avec Noël, l'Assomption et la Toussaint. C'est-à-dire que même si ces jours ne tombent pas un dimanche, ils sont des jours chômés comme le dimanche. Aucun travail ces jours-là, mais grande fête et célébration dans les églises !
Cette obligation légale de jour chômé a été maintenue en 1905 lors de la renégociation des relations entre l’État français et l’Église catholique. C'est pourquoi, encore aujourd'hui, le jeudi de l'Ascension est férié!
Je suis Monarchiste/Templier version 2020/Bonapartiste/Gaulliste/catholique-traditionaliste/boulangiste/Patriote/Souverainiste, Nationaliste, Clementiste, j'aime le Président de la Sainte Russie: Vladimir Poutine, Saint Jean-Paul II, les Généraux vendéens contre-révolutionnaires de 1793, Jeanne d'Arc, Didier Raoult, Éric Zemmour, le Colonel de La Roque, Christophe Chalençon, Henri Guaino et Nicolas Dupont-Aignan (car c'est la seule grande voix de la Droite française à dire et à scander certaines vérités pendant ce confinement et cette "drôle" de guerre). Je suis Sioniste et très fier de l être ! Pour une certaine idée de la France et pour des valeurs nobles que je défendrai jusqu'à ma mort ! Mon rêve le rétablissement de la Monarchie en France avec un système constitutionnel…!
Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Katarzyna Kiedrzynek ouvre son coeur aux ultras du PSG ‼!
🎙" Partir est une déchirure. Après 7 ans ici, je ne peux pas être heureuse de m’en aller, je laisse derrière moi une longue histoire et plein d’amis. J’avoue que j’ai versé ma petite larme… Mais c’est le bon moment. Je n’ai pas beaucoup joué ces derniers temps, sans que je sache vraiment pourquoi. J’ai envie de jouer, de gagner des titres, la Ligue des champions. Je ne râlerai pas, je dis juste : merci Paris, c’était bien."
Qu’est-ce qui va le plus vous manquer ?
" Les supporters ! Ils sont incroyables, magnifiques, je ne retrouverai jamais ça ailleurs. Je suis amoureuse à vie des supporters de Paris. Et ça, ça ne changera jamais! D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours rêvé d’être ultras. A Cardiff, lorsque j’ai tiré ce penalty de merde, on m’a traité de pieds carrés et tout un tas d’autres choses. Eux ne m’ont pas lâchée. J’étais inconsolable, mais leur soutien m’a vraiment remonté le moral. Ils ont été là pour moi, je me suis jurée d’être toujours là pour eux. Ils sont à jamais dans mon cœur.C’est horrible pour moi de ne même pas pouvoir leur dire au revoir avant de partir. Un jour peut-être…”
Daniel Cordier, né à Bordeaux le 10 août 1920, est un résistant, marchand d'art et historien français.
Ancien Camelot du roi, il s'engage dans la France libre dès juin 1940. Secrétaire de Jean Moulin en 1942-1943, au contact de qui ses opinions ont évolué vers la gauche, il lui a consacré une biographie en plusieurs volumes de grande portée historique. Fait compagnon de la Libération en 1944, il est, après la guerre, marchand d'art, critique, collectionneur et organisateur d'expositions, avant de se consacrer à des travaux d'historien.
Sommaire
Biographie
Un jeune membre de l'Action française
Issu d'une famille de négociants bordelais, royalistes maurassiens, Daniel Bouyjou-Cordier fait ses études dans différents collèges catholiques. Il porte le nom de son beau-père Charles Cordier, second mari de sa mère, Jeanne Gauthier.
Il milite à 17 ans à l'Action française et fonde à Bordeaux le Cercle Charles-Maurras. En effet, comme il le reconnaît dans Alias Caracalla, en tant qu'admirateur de Maurras, il est, au début de la guerre, antisémite, antisocialiste, anticommuniste, antidémocrate et ultranationaliste, souhaitant même, après son ralliement à la France libre, que Léon Blum soit fusillé après un jugement sommaire à la fin de la guerre. Il écrit dans son autobiographie qu'il ne serait jamais entré dans la Résistance sans les articles du théoricien du « nationalisme intégral ». Mais, contrairement à son maître à penser, il refuse d'emblée l'armistice par patriotisme.
Le traumatisme de la défaite de juin 1940
En juin 1940, il se trouve avec sa famille à Bescat, attendant avec impatience son incorporation prévue le 10 juillet. Le 17 juin, il écoute à la radio le premier discours de chef du gouvernement du maréchal Pétain, s'attendant de la part du vainqueur de Verdun à une volonté de poursuivre la guerre ; il est donc totalement révolté par l'annonce de la demande d'armistice. Le jour même, il imprime et diffuse un tract « contre Pétain »1.
Après avoir rassemblé seize volontaires et espérant que l'Empire français continuera la guerre, il embarque le 21 juin à Bayonne sur un navire belge, le cargo Léopold II, qui devait aller en Algérie2.
Le bateau fait finalement route vers l'Angleterre.
La Résistance
Daniel Cordier atteint Falmouth (Cornouailles) le 25 juin et s'engage avec ses camarades dans les premières Forces françaises libres de la « Légion de Gaulle » le 28 juin 1940. En transit pendant quelques jours à l'hôtel Olympia, il est affecté au bataillon de chasseurs alors en formation et arrive début juillet à Delville Camp (Aldershot), pour y suivre un entraînement jusqu'à la fin du mois. Le bataillon est ensuite installé au camp d'Old Dean (Camberley), où Daniel Cordier complète sa formation militaire. Il obtient le grade de Lieutenant.
Entré au Bureau central de renseignements et d'action, il est parachuté près de Montluçon le 26 juillet 1942. Il gagne rapidement Lyon et entre au service de Jean Moulin, membre (nommé secrètement par de Gaulle) du Comité national français, officieusement seul représentant de ce comité en métropole. Il prend alors le surnom d'Alain en référence au philosophe. Il fonde et dirige le secrétariat de Jean Moulin et pendant onze mois, il est au quotidien l'un de ses plus proches collaborateurs. Il gère son courrier et ses liaisons radio avec Londres. Il l'aide à créer divers organes et services de la Résistance, et assiste aux patients efforts de celui-ci pour unifier la Résistance intérieure française et la placer sous l'égide de Londres.
À Lyon, Cordier recrute, chronologiquement, Laure Diebold (secrétariat), Hugues Limonti (courrier), Suzanne Olivier, Joseph Van Dievort, Georges Archimbaud, Laurent Girard, Louis Rapp et Hélène Vernay3.
À Paris, Cordier emmène la majorité de son équipe, à laquelle se joignent Jean-Louis Théobald, Claire Chevrillon et Jacqueline Pery d'Alincourt4.
À Lyon, Cordier est remplacé par Tony de Graaff, avec Hélène Vernay (secrétariat) et Laurent Girard (courrier)4.
Ce long travail aboutit à la fondation du Conseil national de la Résistance (27 mai 1943). Il a fallu pour cela passer par bien des frictions et des divergences avec beaucoup de chefs de la Résistance, ainsi qu'avec Pierre Brossolette, autre envoyé de De Gaulle et concurrent de Jean Moulin5. Brossolette réclamera, entre autres, le rappel de Cordier à Londres après l'arrestation et la mort de Jean Moulin6,7.
Resté jusqu'au 21 mars 1944 au service du successeur de Moulin à la délégation générale, Claude Bouchinet-Serreulles, Cordier passe les Pyrénées en mars 1944, est interné à Pampelune puis au camp de Miranda en Espagne, puis rejoint la Grande-Bretagne.
Dans son livre Présumé Jean Moulin, l'historien Jacques Baynac évoque l'éventuelle arrestation de Daniel Cordier par les Allemands autour du 14 juin 1943, une semaine avant la capture de Jean Moulin. Des rapports officiels du Special Operations Executive britannique rapportent cet évènement. Daniel Cordier déclare pour sa part : je n'ai jamais été arrêté, sinon je l'aurais raconté8.
Convictions politiques
Comme il le raconte dans Alias Caracalla, ses convictions évoluent au fil de ses rencontres et de ses expériences. Il abandonne ses positions royalistes et maurassiennes, notamment car Charles Maurras « trahit » en soutenant le maréchal Pétain, ainsi qu'à cause de l'antisémitisme présent dans ce milieu.
Après-guerre
À l'occasion du procès de René Hardy en 1947, il dépose dans le sens de sa culpabilité dans l'affaire de Caluire. Il conclura à nouveau à cette culpabilité des décennies plus tard « en [son] âme et conscience », cette fois après de longues recherches historiques.
Des convictions socialistes
Après la guerre, Cordier choisit de tourner la page et d'oublier radicalement cette période de sa vie, il ne parle plus de la Résistance en public pendant plus de trente ans.
Il ne se consacre plus au militantisme politique et a renoncé à ses opinions d'extrême droite au contact du radical-socialiste Jean Moulin. Il adhère désormais à un socialisme humaniste et non marxiste, aidant à la fondation du club Jean-Moulin au début des années 1960.
Daniel Cordier a été le tuteur légal d'Hervé Vilard.
Entre les deux tours de l'élection présidentielle de 2017, Daniel Cordier prend fermement position contre Marine Le Pen, qualifiant sa possible élection de « monstrueuse »9.
Peintre et marchand d'art
« Jean Moulin fut mon initiateur à l'art moderne. Avant de le rencontrer, en 1942, j'étais ignorant de cet appendice vivant de l'histoire de l'art. Il m'en révéla la vitalité, l'originalité et le plaisir. Surtout il m'en communiqua le goût et la curiosité », écrit Daniel Cordier, en 1989, dans la préface du catalogue présentant sa donation au Centre Pompidou10. Sitôt les hostilités finies, il commence une carrière de peintre, s'inscrit à l'académie de la Grande Chaumière en 1946, en même temps qu'il achète sa première œuvre, une toile de Jean Dewasne, au Salon des Réalités nouvelles.
Pendant dix ans, Cordier peint et collectionne : Braque, Soutine, Rouault, De Staël (« dont la rencontre d'une toile […] fut [sa] révélation de l'art moderne »11), Hartung, Villon, Reichel, Réquichot, Dado. « Il ne cessera de compléter sa collection personnelle qui comprendra, outre les peintres de sa galerie, Arman, Tàpies, Mathieu, Hundertwasser, Kline, Tobey, Wols, César, Tinguely, Claude Viseux, Stankiewicz, Hantaï, Reutersward, Sonnenstern, Ossorio, Takis, Chaissac12… »
C'est ainsi qu'en novembre 1956 Daniel Cordier, en ouvrant sa première galerie, se lance dans ce qui allait être une brillante carrière de marchand d'art. Après une première exposition consacrée à Claude Viseux, il expose, conjointement Dewasne, Dubuffet et Matta. Pendant huit ans, nombre d'artistes, pour beaucoup découverts, lancés et soutenus par Cordier, se succéderont dans la galerie, avant que celui-ci, pour des raisons économiques et financières, mais aussi du fait du manque d'intérêt qu'il ressent, en France, pour l'art contemporain, ne mette la clé sous la porte en juin 1964 pour se tourner vers l'organisation de grandes expositions.
Artistes présentés lors de l'exposition « Daniel Cordier. Le regard d'un amateur » (1989)
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