Le 21 juillet

- Julien-François-Léonard de Mons, 30 ans, né à Carantilly (Manche), vicaire général de Coutances, guillotiné à Paris, 1794.

- Marie-Louis-Léonard de Cussy, 58 ans, né à Coutances, archidiacre de cette ville, guillotiné à Paris.

- Jean-François Jeanson, 49 ans, né à La Vallée en Barrois (Toul), capucin, déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Simon Pannetier, 76 ans, né à Bordeaux, Grand-Carme, guillotiné à Bordeaux, 1794.

- Gabriel Pergaud, 41 ans, né à Saint Priest la Plaine (Creuse), chanoine régulier, prieur de l’abbaye de Beaulieu (Dinan), déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Charles Rambour, 46 ans, né à Custine (Meurthe), chartreux, déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Jean-Baptiste-Charles Renan, 28 ans, né à Bonneval (Eure et loir), vicaire de Prouais (Chartres), guillotiné à Paris, 1794.

- François Gabriel de Latour, vicaire de Noe (Toulouse), exécuté à Toulouse, 1794.


Le 20 juillet 

- Elie-Jean Gintrac, 58 ans, né à Razac sur Isle (Dordogne), curé de Ponchat, déporté, mort sur les Deux-Associés.

- Barthélemy Montblanc, 34 ans, né à Cruzy (Béziers), exécuté à Privas, 1794.

- Marie-Louise Laval de Montmorency, 71 ans, née à Paris, abbesse de Montmartre (Saint Benoit), exécutée à Paris, 1794.

- Joseph Ringard, prêtre à Abbeville, exécuté à Amiens, 1794.

- Pierre-André-Mathurin Lalouelle, 36 ans, né à Rouen, capucin, déporté, mort sur les Deux-Associés.


Une autre personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek 

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Zbigniew Wernic "Cesar" (27 juillet 1925 - 21 juillet 1944)

Caporal de l'armée de terre Il est mort six jours avant son 19e anniversaire. joyeux anniversaire.

Relié au scoutisme depuis l'enfance - dans l'équipe des "Cormorans" aux côtés du chef scout Henryk D żbrowski, il a façonné le caractère et l'esprit du service. Étudiants du collège et du lycée. Joachim Lelewela, et pendant l'occupation - kits secrets des saints Stanisław Koski. Il a réussi son diplôme d'études secondaires en 1943. Il a étudié l'histoire à l'université secrète de Varsovie et les sciences politiques à une académie du complot.

Depuis 1941 un soldat de l'Armed Combat Union - Home Army, dans les rangs du 7ème régiment d'infanterie "Garluch". Il a suivi une formation au complot pour les subalternes, puis a pris part aux opérations de combat et d'élimination en tant que soldat de la division de diversion de combat.

Dans la nuit du 27 juin 1944. il a été arrêté par la gestapo dans un appartement dans la rue. Sous-sol 4. En route pour Spiderman.

Il est mort le 21 juillet 1944 - abattu dans les ruines du ghetto de Varsovie, après une tentative ratée de repousser les prisonniers lors de l'opération "Spider".

Il est mort avec une arme à la main, fidèle à la Pologne jusqu'à la fin🤍❤️

Photo 📷 Archives familiales de Mark Wernica 


Tala Al-Choufi, 14 ans.

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Son père, Hossam Al-Choufi, était un habitué des manifestations anti-Assad place de la Dignité à Sweida.

Tala était musicienne, violoniste. 

Elle a été tuée d’une balle dans la tête par les troupe de Al Charaa, le premier jour de l’assaut.

Rest In Peace

@ Firas Kontar


Ma citation du jour:

« Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d'avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n'importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. [...]

En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d'argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s'entendent pour se partager le pouvoir. Cela m'est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m'ennuierait même qu'ils ne le soient pas. J'en serais navré, vous m'entendez ! Le jour où Le Figaro et l'Immonde me soutiendraient, je considérerais que c'est une catastrophe nationale ! »

(Charles de Gaulle cité par Alain Peyrefitte dans C'était de Gaulle). 


Le 19 juillet 1962:

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le Général de Gaulle écrit à Pierre Messmer, Ministre des Armées, cette lettre mémorable :

«  Mon cher Ministre,

J’ai constaté, notamment dans le domaine militaire, un emploi excessif de la terminologie anglo-saxonne.

Je vous serais obligé de donner des instructions pour que les termes étrangers soient proscrits chaque fois qu’un vocable français peut être employé, c’est à dire dans tous les cas. (rajouté à la main).

Veuillez croire, mon cher Ministre, à mes sentiments cordiaux.

Charles de Gaulle »


Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, le tsar Nicolas II, l'impératrice Alexandra et leurs enfants étaient massacrés à Ekatérinbourg, dans l'Oural. Leur exécution avait eu lieu sans jugement, dans le plus grand secret. Les corps des Romanov et de leurs quatre compagnons de captivité furent chargés sur un camion et transportés dans le bois des Quatre-Frères, une zone de mines de fer abandonnées proche de la ville. Puis de surprenantes obsèques, longtemps restées énigmatiques, se déroulèrent du 17 au 19 juillet 1918 dans les environs de Ekatérinbourg. Soixante ans plus tard, d'aventureuses recherches permirent de découvrir dès 1979 la tombe supposée des Romanov. Elles furent suivies en juillet 1991 de l'étrange exhumation de leurs restes. De 1991 à 1998, les expertises anthropologiques et génétiques qui avaient pour objet d'authentifier ces ossements n'ont pas abouti à des résultats indiscutables. Quelles ont été les véritables conditions de la détention des Romanov ? Qui porte la responsabilité de leur mort ? Qui furent leurs assassins ? Dans quelles circonstances ont-ils été exécutés ? Que sont ensuite devenus leurs restes ? Que faut-il penser de leurs ossements présumés, exhumés en juillet 1991 dans la fosse fangeuse du Vallon du Porcelet ? Y a-t-il eu, pouvait-il y avoir, des survivants parmi les membres de la famille du tsar ? Doit-on croire la version des faits exposée dans la " Note " du commissaire Yourovski, qui fut chargé de l'exécution des Romanov ? Bilan de quinze années de recherches, le livre de Nicolas Ross est en mesure d'apporter des réponses crédibles et souvent inédites à ces interrogations qui ont récemment acquis une nouvelle dimension, d'ordre spirituel, à l'occasion de la canonisation du tsar et de sa famille par l'Eglise orthodoxe russe.


Plusieurs soldats posent pour un portrait de groupe lors de l'opération Camélia lors de la guerre d'Indochine. 

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De gauche à droite: le 1re classe du Génie Laurent, originaire de Basse-Terre (Guadeloupe), armé d'un pistolet-mitrailleur MAT 49. 

Le caporal-chef du Génie Forcet, originaire de Biscarosse, armé d'une carabine M-1. 

Le 2e classe du 8e BPC (bataillon parachutiste de choc) Thanh, originaire de Saigon, armé d'une carabine USM 1. 

Le 1re classe du Génie Accus, originaire de Troisilit en Martinique, armé d'un pistolet-mitrailleur MAT 49. 

Le 2e classe du 3e bataillon du 41e RAC (régiment d'artillerie coloniale) Jolali Bemaral, originaire de Marrakech , armé d'un pistolet-mitrailleur MAT 49.

Note : Cette photographie de groupe met en avant la diversité du CEFEO puisque les soldats sont originaires de Guadeloupe, de France, du Vietnam, de Martinique et du Maroc.