15 juillet 2018
Le 14 juillet 1808.
Le Maréchal Bessières remporte la bataille de Médina Del Rioseco.
Douze milles français mettent en échec vingt deux milles espagnols.
Les charges de cavalerie de Lasalle déciment l'ennemi.
Le 14 juillet 1808.
Le Maréchal Bessières remporte la bataille de Médina Del Rioseco.
Douze milles français mettent en échec vingt deux milles espagnols.
Les charges de cavalerie de Lasalle déciment l'ennemi.
Marie Thérèse Charlotte de France 1778-1851 Madame Royale, Duchesse d'Angoulême by Armand Bera 1784-1836
14 juillet 1793 - 14 juillet 2018, 225e Anniversaire de la mort des suites de ses blessures à Saint-Florent Le Vieil de Jacques Cathelineau, "Le Saint d'Anjou", généralissime de l'Armée catholique et royale, à l'âge de 34 ans.
Henri d'Artois 1820-1883, Comte de Chambord en exil à Holyrood (Ecosse), au début 1830. Fils posthume de Charles Ferdinand d’Artois, Duc de Berry, fils cadet de Charles X, et son épouse Marie Caroline Bourbon-Siciles by Eugène Charpentier.
Félicitations à la Belgique pour cette magnifique troisième place pour cette Coupe du Monde de football 2018 en Russie. Thomas Meunier du PSG a marqué le 1er but aujourd'hui.
JPR
Je ne fêterai pas votre révolution.
On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
Mais je prendrai le deuil de vos pauvres victimes.
Elles seules ont droit à ma vénération.
Je ne fêterai pas l’espérance trahie
Du peuple demandant l’arbitrage royal
Jusqu’alors rendu juste, équitable et loyal
Mais au nom d’une foi par votre orgueil haïe.
Je ne célèbrerai pas votre intolérance.
Ni vos sacrilèges, ni vos profanations.
Ni les grands mots ronflants de vos proclamations
Prônant la liberté dont vous priviez la France.
Je ne fêterai pas l’infâme Cordelier
Faisant assassiner, par sa triste colonne,
En l’église du Luc, près de six cents personnes
Dont cent cinquante enfants réunis pour prier.
On ne pardonne pas les Oradours-sur-Glane
Et vous seriez fondés d’en tarer les nazis
Si vous n’aviez, chez nous, fait pire aussi
Vous êtes précurseurs, Messieurs, et non profanes.
Quand vous jetiez aux fours, par vous chauffés à blanc,
Les mères, les enfants, les vieillards, les mystiques,
Vous disiez faire le pain de la République…
Mais Amey, mieux qu’Hitler, les y jetait vivants !
Car c’est bien cet Amey, de sinistre mémoire,
L’un de vos généraux prétendu glorieux,
Qui fut l’instigateur de ce supplice odieux…
Vous avez, aussi vous, eu vos fours crématoires.
Et Turreau trouvait tant de plaisir à ces jeux
Qu’il faisait ajouter, quand manquaient les dévotes,
Et malgré tous leurs cris, les femmes patriotes…
Votre fraternité les unissait au feu.
Je ne fêterai pas vos tanneries humaines
Dont votre chirurgien, Pecquel, fut l’écorcheur,
Ni son ami Langlois, de Meudon, le tanneur…
Ni votre grand Saint-Just disant qu’en ce domaine
Peau d’homme vaut bien mieux que celle du chamois
Que celle de la femme plus souple et plus fine…
Vous étiez sans culottes, alors ça se devine
Vous vous en fîtes faire en peau de villageois.
Quand vous abominez les gardiens sataniques
De l’affreux Buchenvald écorchant de leur peau
Nos morts, les laissant nus en leurs chairs en lambeaux
Avez-vous des remords ou restez-vous cyniques ?
Je ne fêterai pas les enterrés vivants
Dans les puits de Clisson et ceux de mon bocage
Ni du fameux Carrier les célèbres mariages
Voulus républicains mais surtout révoltants.
Attachant l’un à l’autre, une fille et son père,
Une mère et son fils, un prêtre et une sœur,
Et nus, bien entendu, pour que leurs massacreurs
Aient, humiliant leur mort, à rire et se distraire.
Quand, en les entassant dans barques à sabords
On les faisait sombrer dans les eaux de la Loire.
Et le fleuve royal garde encore leur mémoire,
Il apparaît plus triste à l’approche du port.
Je ne fêterai pas, non plus, la guillotine,
Ce symbole attitré de la révolution.
Ce moyen fraternel d’abreuver nos sillons,
Comme vous le chantez d’un sang que moi j’estime.
Je ne chanterai pas votre révolution.
Elle a fait trop couler de sang, de pleurs, de larmes.
De notre vieux royaume elle a rompu le charme
Et fait perdre, au pays, sa noble vocation.
Vous avez tout brûlé, chez nous, châteaux, chaumières
Etables et clochers. Vous traîniez les enfers
Pour faire du bocage un immense désert
Sans une âme qui vive et sans pierre sur pierre…
Vous n’aviez pas pensé que tout le sang versé
Au terroir de l’amour serait semence vive.
Il germe en attendant nos prochaines métives ;
Il fleurira, demain, épi de liberté.
La liberté de croire en un Dieu qui pardonne.
En un ordre qui met, au sommet, le devoir
Le courage et la foi. Qui veut que le pouvoir
Ne dépende jamais du nombre et de la somme…
Aujourd’hui nous pouvons vous juger à vos faits.
Votre révolution a incendié notre terre.
Elle a porté, partout, la misère et la guerre,
Quand le monde a jamais plus désiré la paix…
Je ne peux pas fêter votre révolution.
On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
Je porterai le deuil de toutes ses victimes.
Elles seules ont droit à ma vénération.
Pierre d’Angles, Janvier 1989.
Fêter la France le 14 juillet !?
Il serait préférable que ce soit le 15 Août !
Le jour de la fête de la Vierge Marie, Reine de France !
Elle mérite après le Christ, notre vénération et nos louanges !
Ô Marie, soyez bénie pour votre glorieuse Assomption !
Notre Dame de France, priez pour nous !
Info Pierrefitte:
Je viens juste de terminer ma saison comme élu municipal LR de Pierrefitte, en assistant au traditionnel feu d artifice annuel du 14 juillet, au stade Roger Fréville de Pierrefitte. Encore une fois, j étais le seul représentant LR local… C est plus la peine d enfoncer une porte ouverte et de tirer sur une ambulance…! C est juste très regrettable et très dommage que Philippe Dallier et Laurent Wauquiez continuent à fermer les yeux…! Vivement que notre compagnon Georges Melane reprenne les choses en mains en octobre prochain…Georges Melane sera notre Didier Deschamps ! Très bonnes vacances à tous les pierrefittois.
JPR