13 novembre 2012
Je tenais en effet à leur dire à quel point je compatis à leur désarroi face à la bêtise incommensurable qu'ils ont choisi d'élire ce 6 mai.
Je comprends qu'il ne doit pas être facile de vivre avec l'idée que l'on a causé la perte de la France en choisissant d'élire le plus grand incapable que la France ait connu -lui-même assisté des plus grands lâches que l'Histoire ait connu.
Je sais à quel point il doit être difficile de constater chaque jour qu'ils contribuent au chômage de masse, à la prolifération des plans sociaux, à la fermeture de nombreuses entreprises ou à leur délocalisation, à la fuite des capitaux, à l'exil de nos riches industriels et particuliers, à la recrudescence de la violence et du grand banditisme et aux trémolos ubuesques des dirigeants qu'ils ont contribué à nommer en confiant la plus haute fonction du pays qui était déjà en souffrance, à un incompétent notoire qui se planque derrière un cap dont tout le monde sait qu'il nous mènera incontestablement au Soudan.
Je suis certaine qu'il n'est pas chose aisée que de devoir se regarder dans un miroir sans être poursuivis par l'image dégradante qu'ont aujourd'hui tous les peuples d'Europe qui savent que leur avenir dépend de la France -et non plus de la Grèce- et que cette France socialiste mortifère ne relèvera pas tant que la gauche continuera de dépenser allègrement sans réformer et quand tous les autres pays coupent dans leurs budgets et réforment.
Je sais enfin combien il doit être difficile pour ne pas dire impossible, d'avouer aujourd'hui qu'ils ont voté Hollande contribuant ainsi à la perte de la France et des Français.
Je comprends d'ailleurs parfaitement la honte qu'ils ressentent et qu'ils osent afficher par le biais des sondages.
Aujourd'hui, je tenais donc à compatir au besoin qu'ont encore certains socialistes de s'accrocher aux quelques branches, qui sont historiquement basses et qui ne devraient pas tarder à s'enraciner pour de bon dans une terre de misère...
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