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Maintenant, ils boivent le sang de leurs enfants 
Par Jean Tsadik   Metula News Agency



Le renseignement israélien est formel : les dirigeants du Hamas se terrent dans un bunker situé sous l’Hôpital Shifa à Gaza city. Plus précisément encore, sous le département de médecine pour enfants.


Ismaël Hanya, le chef de la branche politique, Ahmed Jabaari, la brute béotienne, chef des brigades Ezzedine al-Qassam, et Mahmoud al-Zahar (chirurgien !), le no.2 de l’organisation islamiste à Gaza, jugent probablement que l’aile des enfants de l’hôpital est la plus sûre protection pour leurs misérables existences.

Paradoxalement, ces adeptes du terrorisme à outrance font confiance en l’humanité de l’armée israélienne, sachant pertinemment que les Hébreux ne bombarderont jamais un hôpital.

Second calcul, intégré désormais totalement

dans la doctrine de combat des fondamentalistes à Gaza : si les Israéliens, malgré tout, frappent Shifa, les images des corps d’enfants palestiniens disloqués, qui s’étaleraient sur toutes les TV de la planète, constitueraient la meilleure propagande pour les Hamas.

Car ces images sont devenues, particulièrement depuis l’enclenchement de l’offensive terrestre, l’arme de prédilection du califat islamique des Frères Musulmans à Gaza. Le Califat de Gaza étant le seul territoire géré par la puissante confrérie sunnite, ayant son centre spirituel et tactique à l’Université Al-Azhar au Caire.

L’"arme humanitaire" s’appuie sur une cohorte de proto-journalistes à Gaza, tous sympathisants du mouvement intégriste, tous musulmans, qu’ils collaborent à Al-Jazeera, à la BBC ou à FR24. Tout ce que ces "confrères", le plus souvent formés à l’Ecole Va-vite (à quelques notables exceptions près),

rapportent, filment, montrent et commentent, ce sont les souffrances des civils blessés ou morts, du fait, exclusivement, de l’agression barbare des Israéliens.

Ils répondent ainsi à un ordre, une injonction, une directive. Par idéologie religieuse, nationaliste ou politique, parce que c’est auxiliairement le vœu de

la chaîne qui les emploie, ou, plus bêtement encore, parce que cela ne la dérange pas, ils acceptent de dévoyer notre profession pour la transformer en arme de guerre.

Et toutes les images de souffrance sont bonnes pour émouvoir le chaland occidental et déplacer les croyants dans les rues. Même qu’il y a trois jours, un médecin palestinien, ami fidèle de la Ména, écœuré, nous a signalé que le petit garçon que les télévisions montraient en boucle, alors qu’il était transporté, dans les bras de son père, dans un lit ensanglanté de Shifa, souffrait d’un furoncle au cou, qui n’avait, évidemment, rien à voir avec le conflit.

Le médecin en question, l’un des seuls qui ne soit pas

sympathisant islamique à n’avoir pas été licencié lors du coup d’Etat vert de juin 2007, a terminé sa conversation téléphonique avec Sami El Soudi par la phrase suivante : "Maintenant, on a un Mohammed Al-Dura chaque heure".

Ce qui ne signifie certainement pas qu’il n’y a pas de victimes collatérales durant ce conflit, ce n’est sûrement pas ce que nous entendons dire.

Ce sur quoi nous voulons éveillez le sens de l’observation de nos lecteurs, c’est qu’il n’y a assurément pas QUE des victimes civiles lors de la Guerre de Gaza. Partant de cette constatation simple, deux autres s’imposent inévitablement : il n’y a pas de journalistes dans la Bande, mais uniquement des auxiliaires de communication du Hamas ; cela n’empêche nullement les TV occidentales de diffuser leur message, sans avertissement, en le faisant passer pour de l’information

Le sens de l’observation dont a fait preuve notre camarade Etienne Duranier dans son article

Les media ont choisi leur camp

, diffusé il y a trois jours, est édifiant. Il est parvenu à étonner tous les rédacteurs de l’agence : depuis le troisième jour de Plomb fondu, aucune image en provenance de Gaza n’a montré de milicien islamiste. Ni soigné dans un hôpital, ni blessé ou mort sur le pavé, ni en faction, en défense d’une position tactique.

Selon les chiffres très conservateurs proposés par l’armée israélienne, les soldats hébreux auraient neutralisé plus de 150 miliciens durant ces dernières 24 heures. En application d’une règle proportionnelle, habituellement pertinente dans des conflits de ce genre, on dénombre entre deux et trois blessés pour chaque mort. Où sont donc passés ces morts et ces blessés ? Pas sur les écrans des publics-cibles, cela est une certitude.

Le fait que les médecins de Gaza ne présentent ni ne discutent jamais les cas des miliciens qu’ils traitent constitue également la preuve établissant qu’autant qu’exercer la médecine, ils participent en plein à la guerre contre Israël.

Il n’y a qu’un seul succès qu’Hanya et Jabaari ont remporté lors de cette confrontation militaire. Il ne se situe pas sur le champ de bataille, où leurs hommes font plutôt mauvaise figure, mais au niveau de la transformation des media audiovisuels en armes de guerre. Avec, il faut le mettre en évidence, la collaboration avenante des diffuseurs d’images.

Ceux auxquels nous avons demandé, DVD en main, de nous montrer l’image d’un seul milicien dans le matériel qu’ils ont infligé aux téléspectateurs en Europe et en Amérique n’ont pas renié les faits. Ils se sont juste montrés aussi surpris que nous l’avions été de la découverte de Duranier.

Puis, se ressaisissant, ils nous ont tous fait remarquer que, parce qu’Israël interdisait l’accès de la Bande aux journalistes en poste chez lui, ils n’avaient que les images fournies par ceux de Gaza à présenter à leur public.

Nous, bien entendu, de poser la question : est-ce que l’impossibilité de filmer un conflit dans des conditions d’objectivité implique l’obligation de montrer des images non représentatives d’icelui, tout en sachant qu’elles participent de l’effort de guerre de l’un des belligérants ?

Cette conduite aboutissant à un postulat ridicule et inconcevable pour une chaîne de télévision occidentale : parler plusieurs heures par jour, en prime time, d’une guerre entre l’armée A et l’armée B, tandis que, pour les téléspectateurs, les combattants de B, vivants, morts ou blessés, n’existent pas visuellement.

On prend A et B, on retranche B, restent les images d’hommes en armes de A, pendant Noël et Nouvel An, sur fond d’images de souffrances civiles, et sur les commentaires qui ne parlent que de cela. Comment voulez-vous, dans ces conditions, que le monde audiovisualisé ne déteste pas A ?

Il y a, à nouveau, stigmatisation coordonnée et contraire à toute déontologie d’Israël dans les media occidentaux. Il faudra se pencher sérieusement sur ce problème lorsque les armes se seront tues.

Cette situation de l’image encouragera les membres du Conseil de Sécurité à accepter, durant la réunion de cet après-midi à Manhattan, une résolution contraignante, contraire aux intérêts d’Israël et du monde libre, qui, si l’allié américain ne met pas son veto, aura sauvé la peau et le régime d’Hanya, Jabaari et Al-Zahar.

Ce serait le premier conflit perdu sur le terrain et gagné, tout de même, uniquement grâce à l’arme de la télévision.

Evidemment, c’est gravissime. Mais ce n’est toutefois pas ce qu’il y a de plus grave. Voyant l’usage qu’ils pouvaient faire du sang de leur propre peuple, les dirigeants de l’Organisation de la Résistance Islamique on franchi un pas de plus en direction de l’horreur absolue.

On avait vu le dictateur Saddam Hussein disposer des civils aux alentours de ses installations militaires afin de dissuader les Américains et leurs amis de les prendre pour cibles.

Hanya et Jabaari vont beaucoup plus loin dans l’usage cynique qu’ils font des civils : ayant constaté l’effet des images d’enfants et de femmes ensanglantées sur l’opinion publique, la rue arabe et les diplomates, ils n’utilisent plus les civils palestiniens – dont ils ont la charge de la sécurité en leur qualité de gouvernants de Gaza – afin de dissuader les Israéliens de frapper, mais, au contraire, afin d’attirer sur eux le feu de Tsahal.

Le cas s’est vérifié hier lors du drame de l’école de filles de Fakhura, gérée par l’UNRWA, dans le camp de réfugiés de Djabalya. Nous disposons des évidences indiscutables montrant que le Hamas avait placé deux miliciens lanceurs de mortiers, les frères Imad et Hassan Abou Askar (membres du clan Abou Askar, l’un des plus importants de Gaza ville), sur le toit de la salle où s’étaient réfugiées environ 400 personnes, qui ne se sentaient plus en sécurité chez elles.

De cette position, les Abou Askar canardèrent une position des forces israéliennes, l’obligeant à répliquer ou à perdre des soldats.

On peut, à propos de cette insupportable provocation, questionner également l’attitude des responsables de l’UNRWA à Gaza, son directeur John Ging et son porte-parole, traditionnellement fielleux à l’encontre d’Israël, autant que muet sur les tirs de roquettes contre le Néguev occidental, Christopher Gunness.

L’UNRWA, l’organisme onusien d’aide aux réfugiés palestiniens, a ouvert 23 de ses écoles à Gaza-city à l’hébergement d’environ 15 000 personnes, dont les habitats se situent en zones dangereuses.

Mais l’UNRWA dispose également de 9 000 employés dans la place, et la probabilité pour qu’ils ne se soient pas aperçus de l’activité des miliciens dans l’école de Fakhura n’est tout simplement pas crédible.

On connaissait la fonction humanitaire de l’UNRWA, mais on ignorait qu’elle avait pour vocation de servir de base d’attaques contre les forces israéliennes, participant ainsi à l’effort de guerre du Hamas.

Nous ne prétendons pas que Gunness et Ging avaient la possibilité d’obliger les miliciens armés d’aller mener leur guerre ailleurs ; ce que nous affirmons, en revanche, c’est qu’ils avaient l’obligation de prévenir Tsahal, avec laquelle ils sont en contact, de la situation. Non pour aider Tsahal, mais pour prévenir le décès inexcusable d’une trentaine de civils.

L’attitude de l’UNRWA est d’autant plus inacceptable que le gouvernement d’Israël était intervenu à plusieurs reprises, directement auprès du Secrétaire général Ban-Ki moon, afin de dénoncer ce genre de collusion. Les démarches israéliennes étaient demeurées sans réponses opérationnelles en provenance de Manhattan.

Le problème tient en ce que, devant l’avance terrestre israélienne, le périmètre à partir duquel les terroristes peuvent lancer des roquettes sur les agglomérations israéliennes s’est réduit telle une peau de chagrin.

Il ne leur reste plus que le centre de Gaza, où ils sont facilement repérables par les dizaines de drones et d’hélicoptères qui sillonnent l’éther en sans discontinuer.

Or le Hamas, ainsi acculé, est entré dans une phase hystérique comprenant ces sacrifices humains ainsi que des attaques-suicide contre le contingent d’intervention israélien.

Hier, l’un de ces kamikazes, bardé d’une ceinture explosive, a tenté de se jeter sur des soldats israéliens. Stoppé net dans sa course, il est mort seul. Un autre, vêtu d’un uniforme de Tsahal, a fait irruption dans une position de l’armée : il a été abattu avant de pouvoir faire usage de sa Kalachnikov.

Il y a les miliciens lanceurs de mortiers, et les terroristes, lanceurs de Qassam et de Grad. Mais ils ne disposent plus d’accès aux vergers et aux terrains vagues pour exercer leur sale besogne, alors tous se collent littéralement à d’autres écoles, quand ils ne tirent pas à partir des étages occupés des HLM de Gaza, ou depuis leur toiture plate.

J’ai eu l’occasion, hier, de visionner les films tournés par les drones et lors des attaques par les hélicoptères. Ces images ne laissent aucune place au doute : la doctrine de combat des planqués sous l’hôpital Shifa consiste à sacrifier les lanceurs de projectiles et à attirer sur les civils dont ils s’entourent le feu des missiles de Tsahal.

Ne craignons pas de l’écrire, l’horreur de la fin de l’ère des Frères Musulmans à Gaza dépasse l’intelligible. Les dirigeants du Hamas, dans une dernière tentative pour sauver leur "empire" et surtout leur peau, sacrifient intentionnellement les femmes et les enfants de Gaza au dieu Pellicule. La camera d’Al-Jazeera située à l’entrée de l’hôpital Shifa est l’autel de ce culte insensé.

Pour interrompre ce banquet de Moloch, Israël va, très rapidement, avoir à choisir entre ces trois options : 1. Passer à la phase 3 de Plomb fondu, en envoyant, aujourd’hui ou demain les divisions de réservistes envahir Gaza. 2. Lancer une opération commando dans les sous-sols de l’Hôpital Shifa ou 3. Se retirer sans avoir terminé le travail, permettant aux monstres de renaître de leurs cendres, et confiant la solution diplomatique du conflit aux islamistes turcs d’Erdogan, aux passoires égyptiennes et aux Français, dont les soldats évitent déjà toute altercation avec les Hezbollanis, là, sous les fenêtres de la rédaction.

Or nous l’avons écrit bien avant que quiconque ne parle de l’objectif réel israélien de neutralisation du Hamas : si, au terme de ce conflit, il ne reste ne serait-ce qu’un pan de Hamas debout, il se vantera d’avoir contenu Tsahal, d’avoir ainsi vaincu Israël, et il aura parfaitement raison de le faire.

De là à voir tous ceux qui ont pris part aux manifestations pro islamistes troquer leurs calicots pour des Kalachnikov, il n’y a que quelques années. Quant à ceux qui brûlent des voitures dans Paris, dont les propriétaires ne sont probablement ni israéliens ni même juifs, cela prendra même moins longtemps.


DES INSULTES EN RAFALES - COMME LE JOURNAL LIBERATION, LA PRESSE INTERNET, DONT ISRAELVALLEY EST SUBMERGEE PAR DES "HATE MAILS"


LE CHIFFON PALESTINISTE DEVENU LE SYMBOLE DE L'ANTISEMITISME

News: ISRAELVALLEY SPECIAL

Par Daniel Rouach


Ce matin le journal Libération a été obligé de fermer le jeu de questions-réponses à la fin des articles paraissant sur le web. Le site bloque les commentaires relatifs aux articles traitant du conflit israélo-palestinien, arguant qu’ils avaient été l’arène d’un “déchaînement de haine, des tombereaux d’insultes, des injures à n’en plus finir. Si Libération se veut un lieu de débats, cet espace n’est pas, et ne sera jamais, le lieu d’aisance des racistes et des antisémites”,

Que faire lorsque nous recevons tous les jours des mails antisémites et racistes à la rédaction d’IsraelValley ? La question a été posée aux 5 fondateurs du site IsraelValley.

Les fondateurs ont globalement répondu : “il faut les mépriser. Ils ne méritent pas une réponse.”

Pour info : afin de préserver une pluralité d’analyse et d’informations sur un site qui traite principalement d’économie et high-tech, nous avons des rédacteurs juifs et non-juifs chrétiens et musulmans. De nombreuses nationalités aussi sont représentées : Français, Israéliens, Marocains..

Pour IsraelValley la réponse aux hate-mails est la suivante : Rien ne sert de mettre de l’huile sur le feu, mais la loi c’est la loi. Il a donc été décidé de transmettre aux autorités françaises tout message antisémite. Ce message vaut avis pour tout mail nous parvenant à partir de ce jour. Le racisme ne passera pas.—


Signé : DR
Fondateur-Créateur d’IsraelValley

AL QAIDA

AL QAIDA


Ayman al-Zawahiri, le numéro 2 d'Al-Qaïda, appelle les musulmans à attaquer Israël et des cibles occidentales, suite à l'offensive à Gaza. ''L'opération à Gaza entre dans le cadre des croisades de l'Occident contre l'islam'', pouvait-on lire sur un site internet apparenté à la nébuleuse terroriste.


Une Synagogue attaquée à Toulouse,
une jeune fille de 16 ans agressée à Villiers le bel.
Des voitures renversées, des magasins pillés lors de manifestations hostiles à l'intervention Israélienne à Gaza.
Le conflit de Gaza vient se répercuter sur notre territoire nous disent les habituels analystes de la presse de gauche et bien pensantes! 
Qui sont les auteurs? La réponse: Des jeunes issus des banlieues!
Pourquoi? Ils expriment un malaise "social" et l'injustice de la situation de guerre à Gaza!
Mais alors pourquoi s'attaquer à une jeune fille de 16 ans?
Pourquoi une dizaine de collégien, du Lycée Léon Blum à Villiers le bel dans le Val d'Oise, la roue de coups en proférant des insultes antisémites? Est-ce une bonne manière de "protester" contre Israël? Non!
Est-ce une façon naturelle d'exercer son droit à la manifestation que de piller les magasins et brûler des voitures? Bien sûr que non!
Est-ce une façon normale d'exprimer son opinion dans notre République que de s'en prendre à un lieu de culte? Certainement pas!
Mais alors pourquoi nos bonnes âmes ne protestent pas?
Pourquoi nos bien pensants ne sortent pas leurs sempiternelles arguments de refus de l'injustice?
Pourquoi ce silence du MRAP, de SOS Racisme, de la LDH et d'une manière générale, le silence assourdissant de ces associations de défense du "faible et de l'orphelin" pour peu qu'il soit conforme à leur critères!
Là, comme d'habitude il n' y a pas et il n' y aura pas de réponse.
Alors que cessent ces hypocrisies!

Il y a un malaise en France. C'est une réalité!

Mais il y a aussi des parents qui n'ont plus ou jamais eu la main sur leur enfants. C'est une certitude.
Le chômage, les banlieues "défavorisée" n'expliquent pas les incivilités et le désir de destruction de ces jeunes! 
Le dire expose à la vindicte de la bien pensance!
L'affirmer vous taxe de tous les noms!
Mais toutes les personnes ayant gardé un peu de bon sens et vivant ces incivilités et autres agressions le savent! L'explication de ce fameux "malaise  sociale" de la jeunesse est à la portée!
Le gouvernement devra bien un jour prendre en compte les vrais paramètres de ce "malaise sociale" qui n'est en fait qu'un abandon de l'autorité parentale pour commencer et celle de l'état en second lieu qui a peur de son ombre et des émeutes!
 Il faut aider cette jeunesse qui doit retrouver les moyens de s'élever sur l'échelle sociale mais ne pas perdre de vue, si l'on veut vraiment les aider, que l'opinion publique ne les regarde pas qu'à travers les Journaux Télévisés du 20h après les pillages et les agressions. C'est véritablement bien plus destructeur!
Aujourd'hui c'est gaza, hier c'était autre chose, demain ce sera quoi?
Pour le moment, je pense à cette gamine de 16 ans qui aura désormais la peur au ventre avant d'aller au collège tout simplement parce qu'elle juive! C'est insupportable également
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Gérard Brazon

Une bande dessinée pour les bien pensants:

Qui sont les Palestiniens ?


Par Yashiko Sagamori (consultante en informatique à New York - 2003)



Si vous êtes si sûr que l'existence de la « Palestine » remonte très loin dans l'Histoire, je suppose que vous serez capable de répondre aux questions qui suivent sur ce pays, la « Palestine » :


1) Quand a-t-elle été fondée, et par qui ?
2) Quelles étaient ses frontières ?
3) Quelle était sa capitale ?
4) Quelles étaient ses principales villes ?
5) Qu'est-ce qui constituait la base de son économie ?
6) Quelle était la forme de son gouvernement ?
7) Pouvez-vous nommer un chef palestinien avant Arafat ?
8) La Palestine a-t-elle déjà été reconnue par un pays dont l'existence, à l'époque ou aujourd'hui, ne laisserait aucune place à l'interprétation ?
9) Quelle était la langue de la Palestine ?
10) Quelle était la religion dominante en Palestine ?
11) Quel était le nom de sa monnaie ? Choisissez une date dans l'Histoire, et citez le taux de change à cette date de la monnaie palestinienne contre le dollar US, le mark allemand, la livre britannique, le yen japonais ou le yuan chinois.
12) Quels objets archéologiques les Palestiniens ont-ils laissés ?
13) Connaissez-vous une librairie où l'on pourrait trouver une uvre littéraire palestinienne produite avant 1967 ?
14) Enfin, puisqu'un tel pays n'existe plus, quelle a été la cause de sa disparition, et quand a-t-il disparu ?

Si vous vous lamentez sur le « lent naufrage » de cette nation autrefois « fière », pourriez-vous dire quand, exactement, cette « nation » a été fière, et de quoi elle était fière ?

Et maintenant, la moins sarcastique de toutes les questions : si cette population que vous appelez par erreur « palestinienne » n'est pas seulement constituée d'Arabes génériques mais en grande partie d'Arabes provenant ou plutôt expulsés du monde arabe alentour, « sous le mandat anglais plus de 200 000 sont venues dArabie précisément, pour sinstaller avec promesses dun monde meilleur », si elle possède vraiment une identité ethnique qui lui donnerait un droit à l'autodétermination, pourquoi n'a-t-elle jamais essayé d'accéder à l'indépendance avant qu'Israël n'inflige aux Arabes une défaite cuisante lors de la guerre des Six-jours ?

J'espère que vous éviterez la tentation d'invoquer un lien entre les « Palestiniens » actuels et les Philistins de la Bible : substituer l'étymologie à l'Histoire ne saurait être de mise.

La vérité devrait être évidente pour qui veut la connaître. Les Arabes n'ont jamais abandonné le rêve de détruire Israël : ils continuent de le chérir. N'ayant pu détruire Israël par la force militaire, ils tentent aujourd'hui de le faire par procuration. À cette fin, ils ont créé une organisation terroriste qu'ils ont appelée non sans cynisme le « peuple palestinien » et qu'ils ont installée à Gaza, en Judée et en Samarie. Autrement, comment expliquez-vous le refus par la Jordanie et l'Égypte, après la guerre des Six-jours, d'accepter inconditionnellement de reprendre l'une la « Cisjordanie » et l'autre Gaza ?

Le fait est là, la population arabe de Gaza, de Judée et de Samarie est bien moins fondée à revendiquer un statut national, que la tribu d'Indiens américains qui s'est rassemblée avec succès dans le Connecticut pour y créer un casino détaxé : au moins cette tribu était-elle motivée par un but constructif. Les soi-disant « Palestiniens », eux, n'ont qu'une motivation : la destruction d'Israël, et de mon point de vue, cela ne saurait suffire à faire d'eux une nation ni rien d'autre à l'exception de ce qu'ils sont vraiment : une organisation terroriste qui finira par être démantelée.

En vérité, il n'existe qu'un moyen de parvenir à la paix au Proche-Orient. Il faut que les pays arabes reconnaissent et acceptent leur défaite dans leur guerre contre Israël, et, en tant que perdants, qu'ils versent à Israël des réparations pour les dégâts qu'ils lui ont causés depuis plus de 50 ans. La forme de réparation la plus appropriée consisterait à éliminer leur organisation terroriste de la terre d'Israël et d'accepter l'antique souveraineté d'Israël sur Gaza, la Judée et la Samarie.

Ce serait la fin du peuple palestinien.
Vous disiez qu'il vient d'où, déjà ?!


Le CNI souffle ses 60 bougies !


Le Centre National des Indépendants et Paysans (CNI) souffle ses 60 bougies

Le plus ancien parti de droite de France, créé le 6 janvier 1949 par Roger Duchet, sénateur de la Côte d'Or, a connu un essor sans précédent avec ce qui est convenu d'appeler « le miracle Pinay » en 1952.

La doctrine du mouvement reposait sur trois notions majeures : la Liberté, l’Autorité et la Nation dans le cadre d'une Europe démocratique et communautaire.
Antoine Pinay, Valéry Giscard d'Estaing, Jean-Pierre Fourcade, François Baudis, Jacques Ferron, Edouard Frédéric-Dupont, Raymond Marcellin, Bernard Motte, Paul Reynaud, Jean Raffarin... nombreux sont les noms prestigieux qui ont marqué l'histoire du parti.

Le CNI a toujours su se renouveler sans jamais perdre son identité et son indépendance. Présidé aujourd’hui et depuis dix ans par Annick du Roscoät, membre du Conseil Economique, Social et Environnemental, le CNI compte dans ses rangs deux députés Gilles Bourdouleix (député-maire de Cholet) et Christian Vanneste (député du Nord).

Le CNI est un parti ancré sur le terrain. Il est composé de nombreux élus locaux ayant en commun la volonté de défendre et de représenter cette France silencieuse et responsable. Cette classe moyenne trop souvent surtaxée, oubliée, sacrifiée malgré son sens de l'effort et son dévouement au travail. Il se veut une force essentielle qui permettra à la France de poursuivre et d’accélérer les changements dont elle a tant besoin.

« Les Indépendants ont le courage de dire et la volonté d’agir : pour la liberté du travail, pour la famille, pour le respect des valeurs de notre République… Nous sommes pour une France respectée, responsable et rayonnante » précise la Présidente du CNI, Annick du Roscoät.

« Cette vitalité dont fait preuve notre mouvement s’exprimera pleinement lors des prochaines élections européennes puisque nous avons d’ores et déjà décidé de présenter des listes. Je conduirai personnellement la liste du Grand-Ouest en juin prochain, tout comme Stéphane Buffetaut mènera celle d’Ile-de-France », conclut Annick du Roscoät.

Source: Blog des Jeunes du CNI


www.cni.asso.fr