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Hauts-de-Seine: accord pour que Jean Sarkozy préside le groupe UMP au Conseil

Jean Sarkozy, conseiller général des Hauts-de-Seine et fils du président de la République, le 20 mars 2008 à Nanterre

    Pierre Verdy AFP/Archives ¦ Jean Sarkozy, conseiller général des Hauts-de-Seine et fils du président de la République, le 20 mars 2008 à Nanterre

Un accord est intervenu samedi matin pour la présidence du groupe UMP du Conseil général des Hauts-de-Seine, que se disputaient Jean Sarkozy et le centriste Hervé Marseille, et qui devrait revenir au fils cadet du chef de l'Etat, a-t-on appris samedi à Nanterre.

"Ils se sont mis d'accord pour agir ensemble, ils ne seront pas candidats l'un contre l'autre et l'unité de notre groupe est préservée", a déclaré Patrick Devedjian, président de l'assemblée départementale, à l'issue d'une réunion de conciliation au Conseil général.

"On va présenter une solution ensemble au groupe lundi parce qu'on veut éviter des débats inutiles. Il est évident que ce que nous souhaitons c'est maintenir l'union de la majorité départementale", a renchéri M. Marseille, maire (NC) de Meudon.

"On maintiendra l'union de la majorité départementale en se présentant ensemble", a poursuivi l'élu centriste. "Il y a un de nous deux qui présidera et l'autre qui vice-présidera".

Questionné sur la répartition des rôles, Jean Sarkozy a refusé de répondre en réservant la primeur aux élus de droite des Hauts-de-Seine (30 sur 45 conseillers généraux) qui doivent voter lundi au lendemain d'une cantonale partielle.

Il a cependant parlé d'un "équilibre de forces dont il faut tenir compte", manière voilée de dire qu'il prendra la présidence du groupe dominé par les UMP.

Elu en mars aux cantonales à Neuilly-sur-Seine, Jean Sarkozy s'est par lettre porté candidat à la tête du groupe UMP-Nouveau Centre du département, poste vacant depuis la démission de Jean-Jacques Guillet (UMP) pour cause de cumul des mandats.

M. Devedjian avait laissé entendre à plusieurs reprises qu'il souhaitait voir Hervé Marseille remplacer M. Guillet.

Visual_108695_016 20Minutes.fr avec AFP


Cet aprés-midi (encore abandonné par mon Don du ciel, alors que nous devions partir à Etretat, en week-end !) J'ai vu sur France 3, un documentaire boulversant sur le Massacre d'Oradour Sur Glane. Voici, un petit reportage:

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Recueillement sur la place où furent rassemblés les villageois. On reconnaît, de gauche à droite, Aziz Méliani, Jean-Marie Bockel avec à sa gauche Raymond Frugier, Raphaël Nisand et André Schneider. (Photos DNA - C.K.)

Réconciliation sans oubli

Jean-Marie Bockel, secrétaire d’État à la défense et aux anciens combattants, a présidé hier les cérémonies du 64e anniversaire du massacre d’Oradour-sur-Glane. Sa condition de « ministre alsacien » conférait un caractère particulier à sa présence.

Oradour.- De notre envoyé spécial

C’est la première fois que Jean-Marie Bockel se rendait dans les ruines du village martyr d’Oradour-sur-Glane où, par une journée aussi ensoleillée que celle d’hier, 642 civils, dont 246 femmes et 207 enfants, ont été massacrés le samedi 10 juin 1944 par la division de Waffen SS “Das Reich”. Quatorze Alsaciens, dont treize incorporés de force et un volontaire, ont participé à cette « bouffée meurtrière ». Sur les dix Alsaciens victimes de la tuerie parce que réfugiés dans le Limousin, neuf étaient originaires de Schiltigheim. C’est pourquoi Jean-Marie Bockel a souhaité avoir à ses côtés le maire de Schiltigheim, Raphaël Nisand, et le député de la circonscription, André Schneider. Dix ans après la réconciliation entre l’Alsace et le Limousin engagée par les maires d’Oradour, Raymond Frugier, et de Strasbourg, Roland Ries, fils de “malgré nous” (*), Jean-Marie Bockel a tenu à participer aux commémorations du 10 juin. « Parce que, par mes origines, je suis sensibilisé au versant alsacien de la tragédie d’Oradour. Mais au-delà, je souhaite une présence gouvernementale régulière pour marquer le souvenir d’un drame dont la dimension est universelle ; il n’appartient pas au passé, comme le montrent les comportements humains dans de nombreuses régions du globe ».

«L’histoire et ses drames nous obligent à la fraternité» Avant le pèlerinage dans les rues dévastées d’Oradour et le dépôt de gerbes devant le monument dédié aux victimes, au cimetière, Raymond Frugier a exprimé au ministre la « gratitude des familles des martyrs » pour la présence d’un membre du gouvernement et s’est félicité que « le nécessaire dépassement d’une réalité si douloureuse ait permis de renouer le dialogue entre deux régions victime d’une idéologie perverse. Puisse ce village anéanti, assassiné, se dresser toujours plus haut devant la conscience humaine. L’histoire et ses drames nous obligent à la fraternité », a conclu le maire d’Oradour. Évoquant les incorporés de force alsaciens, « eux-mêmes victimes de la barbarie nazie qui avait fait d’eux des auxiliaires du crime », Jean-Marie Bockel a dit que « rien ne pourra jamais justifier leur participation à ces terribles exactions. La réconciliation, ce n’est pas l’oubli. J’appelle de mes voeux une mémoire apaisée autour de ce crime monumental qui divisa notre pays. J’invite les jeunes générations à connaître les moindres détails de cette tragédie nationale ».

Claude Keiflin

(*) La ville de Strasbourg était représentée par le colonel Aziz Méliani, conseiller municipal. Étaient également présents le maire de Lembach, Charles Schlosser, l’historien Eugène Riedweg, et une délégation de patriotes réfractaires (Praf-Géral), conduite par les présidents du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, Pierre Peru et René Epp.

Édition du Mer 11 juin 2008

Mémoire

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Raphaël Nisand et André Schneider se sont recueillis hier dans l’église d’Oradour où ont été brûlés vifs 246 femmes et 207 enfants. Une seule femme a pu s’échapper par un vitrail. (Photo DNA - CK)

Raphaël Nisand et André Schneider à Oradour-sur-Glane A l’invitation de Jean-Marie Bockel, le maire de Schiltigheim Raphaël Nisand et le député de la circonscription André Schneider ont participé, hier à Oradour-sur-Glane, aux cérémonies commémorant le massacre de 642 civils, le 10 juin 1944. Le secrétaire d’État à la défense et aux anciens combattants a rappelé que parmi ces victimes figuraient neuf habitants de Schiltigheim « que les citoyens d’Oradour avaient fraternellement recueillis en 1939 ». Le maire Raphaël Nisand s’est engagé à compléter la liste de la stèle de la Résistance à Schiltigheim, en rajoutant les noms de sept des martyrs d’Oradour qui n’y figurent pas encore.

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Domenech refait le match

Quelques heures seulement après le lourd revers concédé face au Pays-Bas, Raymond Domenech est revenu livrer son point de vue sur cette rencontre. Après avoir visionné plusieurs fois le match, le sélectionneur national confirme qu'il a vu de "bonnes séquences de jeu, des moments forts, une emprise sur le jeu" que la maladresse, l'arbitre et Van der Sar ont annihilés.
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Domenech a expliqué ses choix et souhaite que l'équipe aille de l'avant. (Reuters)
Raymond Domenech n'avait pas prévu de revenir si vite devant la presse. La situation exceptionnelle des Bleus dans ce groupe C de l'Euro et sa volonté d'affirmer son point de vue l'ont poussé à se prêter à un nouveau jeu des questions-réponses avec les journalistes. Loin de la lecture directe d'un revers, 4 buts à 1, record puisque ce n'était plus arrivé à l'équipe de France depuis presque 26 ans (le 31 août 1982, au Parc des Princes, les Tricolores avaient été battus par la Pologne, 4-0, ndlr), il a tenu à apporter sa vision du match. "Quand on perd 4-1, dire 2008-05-26T181444Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-FOOTBALL-EURO-FRANCE-DOMENECH-20080526 que cela a été parfait serait stupide", explique-t-il en préambule.

Forcément questionné sur la qualité de sa défense, sur son choix de lancer Gomis en seconde période plutôt que Anelka ou Benzema, Domenech a expliqué avoir revu le match à plusieurs reprises et avoir noté: "de bonnes séquences, des moments forts, des occasions et une emprise sur le jeu. On a pris des buts sur des fautes d'inattention, le symbole étant sur le corner (le premier but), le buteur (Kuyt) n'a même pas besoin de sauter pour marquer. Et sur le troisième, on est encore en train de se féliciter.""

Domenech: "Acheter des lunettes à l'arbitre"

Certes, l'équipe de France s'est procuré des occasions, mais il y a tout de même eu une faillite défensive. Comme si à trop vouloir aller de l'avant, elle en a perdu son équilibre défensif. Avec l'ironie qu'on lui connaît, Domenech répond: "On aurait pu ne pas faire d'erreur, être réaliste et acheter des lunettes à l'arbitre." Un thème qu'il a repris plusieurs fois sous différentes formes: "On a fait ce qu'il fallait mais la maladresse, le talent du gardien et l'arbitre, c'est un ensemble."

Il reste que le réalisme est un souci récurrent. "On a du mal à enfoncer le clou quand on est bien", concède d'ailleurs Domenech. Les Bleus ont eu beaucoup d'occasions de marquer, de revenir, de faire douter vraiment les Pays-Bas. Ils n'y sont pas parvenus. Se cacher derrière le réalisme de l'adversaire serait une erreur. Les hommes de Marco Van Basten avaient déjà réalisé le même festival offensif contre l'Italie. Ce n'est pas uniquement le réalisme mais également le talent des attaquants néerlandais qui leur ont permis de prendre le large.

Domenech assume ses choix

Van Basten n'a pas hésité à remplacer Engelaar par Robben à la reprise alors que le score n'était que de 1-0. "Derrière on a eu 20 bonnes minutes avec 4 ou 5 occasions et le penalty non sifflé", répond un Domenech également critiqué pour avoir lancé Gomis plutôt que Anelka ou Benzema. Le sélectionneur national ne se défile pas et justifie son choix en expliquant sa volonté d'avoir "un attaquant de pointe pour fixer les deux défenseurs, les bloquer dans leur camp et presser haut."

Un choix qu'il assume mais qui n'a guère porté ses fruits, le Stéphanois paraissant léger face aux rudes défenseurs bataves. "Les événements font penser qu'on aurait pu faire autre chose mais rien ne dit que cela aurait changé la face du monde", ajoute-t-il. Après un jour de repos pour tous ceux qui ont subi cette grosse défaite, les Bleus vont devoir se tourner vers un France-Italie décisif. De leur côté, Van Nistelrooy et compagnie assuraient après le match qu'ils joueraient le coup à fond face à la Roumanie: "Ce n'est pas dans notre mentalité d'entrer sur le terrain sans vouloir gagner, d'autant moins avec 15 000 de nos supporters dans le stade et 20 000 dehors ! Quand on porte le maillot de la sélection, c'est pour gagner." Un propos repris par Van Bronckhorst et Robben notamment. On a également vu Evra et Van der Sar discuter de longues minutes au fond de la zone mixte. Les deux Mancuniens ont parlé du match et de la suite de la compétition.

Quoiqu'il en soit, les Bleus jurent qu'ils vont donner le maximum contre l'Italie afin de ne pas avoir de regrets et de donner une autre image de l'équipe de France. "C'est un match exceptionnel", avance Domenech. Ce sera surtout celui de la dernière chance.

Moi: Jean-Pierre Renard, je soutiens à 100 % Raymond Domenech ! Que j'admire beaucoup sur tous les plans !

Domenech: "Ça fait mal !"

Battu pour la première fois de la sorte avec les Bleus, Raymond Domenech n'a pas caché sa grande déception et sa frustration après le lourd revers concédé vendredi soir contre les Pays-Bas (1-4). S'il semblait ne plus trop y croire, le sélectionneur tricolore insiste sur le fait que les chances d'accéder en quart de finale de l'Euro, existent bien.

                            Euro_2008_-_raymond_domenech_article_big                                           La tête des mauvais soirs pour le sélectionneur des Bleus (Reuters).
Quel est votre sentiment après cette défaite ?
Forcément pas très heureux Ça fait mal, c'est très difficile mais c'est la loi du sport. Quand on a eu un manque d'efficacité comme ce soir (vendredi) et qui s'ajoutent un petit coup de pouce de l'arbitre et la grande qualité du gardien en face, c'est vrai que ça fait mal.

Plus qu'un seul but marqué, ce sont les quatre encaissés qui marquent les esprits...
C'est la première fois que ça nous arrive. Notre point fort était la solidité défensive, et à force de le dire et de le répéter, on a craqué dans un secteur où l'on était solide. Je n'oublie pas le facteur réussite très important de l'adversaire, c'est ce qui s'était passé contre l'Italie. Ça doit aussi vouloir dire qu'ils ont de la qualité.

Avez-vous des regrets sur la composition du départ ou sur la manière dont votre équipe a joué ?
Je n'ai jamais de regrets. Personne ne pourra me dire qu'avec une équipe différente, on aurait fait mieux. On peut toujours le dire, c'est facile, mais au final ça ne change pas grand-chose.

               Pourquoi avez-vous fait entrer Gomis plutôt que 2008-05-28T120227Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-FOOTBALL-EURO-FRANCE-20080528 Benzema ? Ce dernier était-il blessé ?
Non, je voulais quelqu'un en pointe, présent dans le jeu aérien, un pivot avec des joueurs qui venaient lancés. C'était une option en fonction de l'adversaire à ce moment du match.

"Cette équipe existe encore"

Qu'est-ce qui a manqué aux Bleus pour ne pas sombrer ?
Beaucoup de choses comme ne pas prendre un but d'entrée. Quand vous vous retrouvez mené après 10 minutes, contre une équipe comme ça, c'est plus compliqué, ils ont de l'espace, ils ressortent vite et bien. C'est frustrant en plus de prendre ce premier but sur coup de pied arrêté, la match bascule sur ça. Après, on a été obligé de jouer autrement.

Paradoxalement, vous avez mieux joué que contre la Roumanie, vous avez eu plus d'occasions...
Non, on n'a pas mieux joué sinon on aurait gagné. C'est vrai qu'on a eu plus d'occasions, on a plus ouvert mais on a tellement bien ouvert qu'on s'en n'est pas remis.

Que vous inspire le dernier match contre l'Italie ?
Nous y voilà. Il n'est pas décisif car cela dépendra de l'autre match. Vu les circonstances (Les Pays-Bas sont assurés de terminer premiers du groupe, ndlr), il faut être très optimiste de penser que les Pays-Bas gagneront le dernier match.

Pourquoi certains cadres n'ont pas été à la hauteur ?
Je ne vais pas dans ce sens. C'est une équipe qui n'a pas fait ce qu'il fallait et pas un ou plusieurs joueurs en particulier. J'englobe tout le monde et les 40 personnes qui encadrent le groupe.

Qu'avez-vous dit aux joueurs dans les vestiaires ?
Ce que je vous ai dit tout à l'heure. Quand la vie est belle, tout le monde est content et quand on perd, la vie est moins belle mais le sportif de haut niveau, on le reconnaît dans ces moments. Celui qui sait relever la tête, se dire qu'il reste encore une chance. Et c'est le cas, on doit exister. Cette équipe existe encore, il reste un match et on doit se montrer digne du maillot de l'équipe de France.

Visite de Mme Laura Bush à l'Hôpital Américain de Paris

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Le 16 janvier 2007, l’Hôpital Américain de Paris a eu l'honneur de recevoir la visite de Mme Laura Bush, Première Dame des Etats-Unis et de l’Ambassadeur des Etats-Unis en France, M. Craig Stapleton.

Après avoir été accueillie par M. John Riggs, Président du Conseil des Gouverneurs de l'Hôpital Américain de Paris et par M. Xavier Bertrand, Ministre de la Santé et des Solidarités, Mme Bush a présidé une table ronde consacrée à l’histoire de l’Hôpital Américain de Paris et à ses grands projets de développement. A l'issue de sa visite, Mme Bush a planté dans les jardins de l’hôpital un olivier commémorant le Centenaire de l’Hôpital Américain de Paris célébré en 2006.
Photo : M. Xavier Bertrand, M. John Riggs, Mme Laura Bush, M. Craig Stapleton


BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L’ ANTISEMITISME

8 Boulevard Saint Simon 93700 DRANCY

Le Président

Sammy GHOZLAN

COMMUNIQUE DE PRESSE 

DRANCY LE 13 JUIN 2008-

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme condamne la dernière profanation commise à Paris, par des individus  qui dans la nuit de mardi 1O à mercredi 11 juin 2008-,  occupant le square Léon Serpolet  auront volontairement détruit la plaque commémorative consacrée à des enfants juifs déportés dans les camps de la Mort, pendant l'occupation Nazie.

De nombreux correspondants nos ont exprimé leur indignation, voire leur écoeurement , suscités par cet acte vile lâche et odieux.

Nous demandons à la Police de rechercher activement les auteurs, les interpeller , afin que la justice leur inflige des sanctions exemplaires.*

Nous demandons au Maire de Paris, de faire réparer ladite plaque, voire la faire remplacer..