Previous month:
mai 2008
Next month:
septembre 2008

0 billets

C'est une de mes series préfèrées

Adieu Commissaire Moulin !


                        8f09e6cc1cce54b8ab94dc88551f07f023701900907436 00990490                              Yves Rénier sera de retour sur TF1 jeudi 5 juin à 20:50 dans une nouvelle et dernière enquête inédite du « La_derniere_affaire_image_diaporama_paysage Commissaire Moulin » intitulée « La dernière affaire ».

00919176 01315984

L'histoire : Guyomard part en retraite. Ses camarades lui préparent une petite fête surprise. Pendant que le champagne coule à flots, les pompiers découvrent un cadavre dans la Seine et appellent la Crim'. L'équipe de Moulin se rend sur la scène du crime, Guyomard en tête.

Le « Commissaire Moulin » et Guyomard mènent leur dernière enquête ensemble, à quelques heures du départ en retraite du fidèle camarade de Jean-Paul Moulin. Une « dernière affaire » troublante de kidnapping qui va mal tourner...
01200694
Depuis trente ans dans la peau du commissaire Moulin, Yves Rénier explique les raisons du succès de l'une des série policières les plus longues du paysage audiovisuel français... Navarro et Colombo n'ont qu'à bien se tenir !

commisaire Moulin26478525_p18458688  

Quel est l'élixir de jouvence de la série ?
Trois choses : réalisme, action et émotion. « Commissaire Moulin », c'est une série moderne qui a toujours su évoluer avec son temps et proposer des scenarii originaux, abordant des sujets parfois délicats qui bien souvent nous rappellent à la triste réalité de notre actualité... En résulte une bonne dose de suspense et des enquêtes haletantes pleines de rebondissements. Surtout, depuis le début, c'est-à-dire lorsque Paul Andréota l'a créée en 1976, la série n'a cessé d'être un miroir de notre société, dans ses progrès - technologiques, comportementaux ou même vestimentaires (rires) - comme dans ses affres et ses folies, avec ses crimes, sa délinquance et sa violence. Très inspiré des différents faits divers qui peuvent ternir notre quotidien et heurter la sensibilité, le programme jouit également d'une grande popularité grâce à la qualité des comédiens qui m'entourent.

18928317_w434_h_q80 Comment Jean-Paul Moulin a-t-il évolué ?
Mon personnage a beaucoup évolué avec le temps. Ne serait-ce que physiquement d'ailleurs. Elle est loin l'époque des pantalons à pattes d'éléphants ! Je suis passé par tous les styles, du look très décontracté en jean et blousons en cuir aux costumes cintrés et aux «cols à bouffer de la tarte» (rires)! Il fut même un temps où le commissaire arpentait fièrement les rues de Paris sur une belle Ducati rouge ! Aujourd'hui, Jean-Paul Moulin arbore un style plus classique, plus sobre, qui reflète sa personnalité, plus aguerrie, plus sage aussi... Mais si les tenues et accessoires du commissaire ont varié avec le temps et les modes, il est toujours resté lui-même, un homme d'action, rugueux mais réfléchi, avec une grande intuition et une certaine idée de la condition humaine...

Est-ce à dire que Moulin est un homme d'action plein d'idéaux...?
Oui. Et j'ai d'ailleurs tendance à répéter que Moulin est, en quelque sorte, un Don Quichotte des temps modernes. Un homme au code moral irréprochable, attaché à ses valeurs et au service d'un idéal, celui du bien et de l'anéantissement du mal. Mais Don Quichotte parce que combattant d'un idéal trop souvent dépassé par une réalité plus noire qu'il ne peut à lui seul gommer... Seul un fou, un rêveur se battant contre des moulins à vent peut espérer éradiquer le Mal de la planète. Malheureusement... Mais le vrai courage est de continuer à y croire et d'agir à son niveau.

Vous êtes «commissaire» depuis plus de trente ans. Quel regard portez-vous sur ce métier d'engagement et de service ?
Policier, c'est un métier d'Homme avec un grand H, une lourde responsabilité et un combat de tous les jours qui demande, certes, du courage et de l'intuition, mais d'abord une bonne dose de patience, de sagesse et d'espoir. C'est d'ailleurs ce que Guyomard s'efforce d'inculquer au jeune qu'il prend sous son aile dans cet épisode, tel un passeur. Dans « Commissaire Moulin », nous suivons le quotidien d'hommes et de femmes de qualité qui, s'ils ne manquent pas de défauts et de failles comme tout le monde, s'efforcent d'être toujours exemplaires. Des héros humanistes et idéalistes. Des hommes pour qui vie rime avec utilité, service et dévouement!

Dans cet épisode encore, vous cumulez les deux fonctions : acteur et réalisateur...
J'ai toujours eu beaucoup de plaisir à réaliser les « Commissaire Moulin ». Parfois même, le réalisateur Rénier oublie l'acteur Yves (rires). C'est à dire que je privilégie le travail de direction des autres acteurs... C'est en tout cas un jeu et un exercice jubilatoires. Tout comme le métier d'acteur, cela ne se fait pas sans passion, sans énergie. Bien sûr, il y a moins de place accordée à l'improvisation et je sais toujours très en amont quels plans je veux avoir, à quoi la scène va ressembler et avec quels moyens techniques je pourrai la réaliser. Photographe de formation, rêvant même de devenir reporter de guerre lorsque j'étais plus jeune, j'ai une approche visuelle assez technique qui me permet d'avancer plus vite et plus efficacement. Ayant déjà en tête ce que je veux obtenir, il s'agit ensuite de travailler en synergie avec les chefs opérateurs et de bien orienter les acteurs, de les guider et de les conseiller pour enfin les voir jouer en toute liberté et laisser la magie opérer... C'est donc toujours très réjouissant.

D'où vous est venu ce goût du jeu et de la réalisation ?
A un journaliste qui lui demandait la même chose, Steven Spielberg répondit que depuis tout petit il adorait se raconter des histoires ou jouer avec des trains électriques miniatures. Aujourd'hui, il «s'amuse» avec de vrais trains et des personnes vivantes (rires)! Pour moi, c'est à peu près pareil. Le jeu, la télévision ou le cinéma me permettent de m'exprimer et de matérialiser certaines idées, d'aborder des thèmes qui me touchent. Enfin, et surtout, jouer la comédie, c'est s'inventer des milliers de vie, être soi-même et quelqu'un d'autre. Bref, un jeu d'enfant...

Vous êtes le héros de millions de téléspectateurs. Mais vous, quel est votre héros ?
Sans parler des héros de l'Histoire ou de la littérature, je garde depuis mon enfance une grande admiration pour un monstre du cinéma, un homme charismatique et un acteur hors pair qui m'a donné envie d'être comédien : Steve Mc Queen !

Vous dites regarder beaucoup de séries et notamment américaines (The Shield, Les Soprano, Les Experts, etc)... Qu'est-ce qui vous plaît dedans ?
J'ai toujours aimé le cinéma américain et les excellentes séries qui s'y produisent. La qualité des scenarii, la modernité et le dynamisme des réalisateurs mais encore l'audace que les auteurs ont pour aborder certains sujets - homosexualité, violence, guerre, etc - offrent un spectacle des plus attrayants !

Votre philosophie de la vie...
J'ai pour habitude de profiter de chaque instant et de prendre la vie comme elle vient. Quoi de plus incertain que l'heure d'arrivée du train de la vie ? Autant s'amuser, apprendre et s'enrichir de nouvelles expériences, de nouvelles rencontres avant que le voyage ne prenne fin... Telle est ma philosophie de la vie, celle que je partage avec mes proches et mes amis et que mon ami Carlos, ne cessait de prôner...

Propos recueillis par Jean-Marie Dumas, TF1
Crédit Photo © TF1


Hommage de la ville de Neuilly-Plaisance aux victimes de la guerre d'Indochine

Hier matin, à 10H, avait lieu la Cérémonie en homage des victimes de la guerre d’Indochine qui habitaient Neuilly Plaisance.
Une plaque commémorative a été dévoilée par le Sénateur/ Maire: Christian Demuynck, des représentants des associations d’anciens combattants et par le Conseiller-Général UMP: Pierre Facon, donnant une liste exhaustive des victimes de cette terrible guerre, qui se poursuivra par la guerre du Vietnam, une fois la France retirée.

Mr Pegurri, Conseiller Municipal délégué, et Mr Moine

Mr le Sénateur/ Maire, lors du discours


Ce couple me fait penser à celui que nous allons former avec mon Don du ciel (la femme de ma vie!) !...


Prix de Diane 
Christophe Soumillon et Sophie Thalmann, couple star d'une course mythique       

      Un impératif pour ce fils de jockey d'obstacles belge, qui occupe une place particulière dans le monde hippique. Il est aux courses de plat ce que Schumacher était à la Formule 1 : le meilleur ! A tout juste 26 ans, ce 4 juin, il a déjà tout gagné: plus de 1000 victoires, dont un record de 226 pour la seule année 2005, trois Jockey Club, un Prix de Diane et un Prix de l'Arc-de-Triomphe. Pour s'en convaincre, il suffit de jeter un oeil aux vitrines du grand salon où s'entassent les trophées... Et un diadème de Miss France, titre remporté par Sophie, cette fois, en 1998.

Au Prix de Diane, les parents de Charlie, 20 mois, s'efforceront chacun de briller dans leur domaine. Jockey attitré de l'Aga Khan, Christophe sera en piste pour tenter de renouveler son exploit de 2004.

Cheval2

«Tout va encore bien pour moi, mais l'étau se resserre cette saison, avec le succès de Stéphane Pasquier ou d'Olivier Peslier. Et gagner le Prix de Diane, ça donne de la confiance en soi», avoue Christophe. A Chantilly, Sophie relèvera un autre défi.: « Equidia m'a demandé de présenter "Matin de Diane", le dimanche de 10 heures à 12h 30: une émission spéciale en direct, qui sera une première pour moi », révèle l'ancienne chroniqueuse de TF1. Mais ce rendez-vous ne sera pas trop technique, Sophie confiant n'être pas devenue spécialiste malgré son mariage avec Christophe l'an dernier.

« J'étais passionnée de chevaux bien avant de le connaître, mais pas des courses et, aujourd'hui, ça reste son domaine à lui. Quand il rentre, il préfère décompresser en profitant de la nature, des animaux, de notre potager que de parler d'hippisme... même si je regrette de ne pas m'intéresser plus à ses handicaps: c'est toujours quand je prépare un bon dîner qu'il doit être léger le lendemain», plaisante Sophie. « Je dois manger beaucoup de fruits et de légumes, et n'ai droit qu'à un bon repas par semaine. Mais le plus important, c'est tout ce dont je bénéficie ici : du calme, du grand air et d'une vie privée équilibrée », indique Christophe, avant de s'engouffrer dans son 4 x 4.

Dans une heure, il doit passer à la pesée avant la réunion du jour à Compiègne. Les courses, c'est 365 jours par an. C'est sans doute le plus lourd des sacrifices auquel doit consentir Christophe Soumillon, qui porte les espoirs des propriétaires et de millions de turfistes.

François Ouisse


   Cliquez pour agrandir


Extrait de "Télé Loisirs"  du 9 au 15 juin 2007


Une ébauche d'accord entre Israël et les Palestiniens

par Claire Dana Picard
 

Les pourparlers entre Israël et les Palestiniens ont-ils réellement été relancés ? C'est la question qu'on peut se poser à la lecture des journaux arabes de la fin de la semaine qui parlent d'une part d'une reprise d'un dialogue entre les deux camps mais laissent entendre d'autre part que l'écart est encore grand et que le débat sur le cœur du conflit aurait, pour le moment, été mis à l'écart des discussions.

Parallèlement à ce "dialogue", le Hamas et le Fatah donnent l'impression de vouloir amorcer une sorte de réconciliation. C'est dans cette optique que des représentants des deux organisations terroristes, qui s'affrontent depuis un certain temps, se sont rendus à Dakar.

D'après la presse locale, ils auraient renouvelé leurs contacts sous l'égide du président sénégalais, Abdoulaye Wade. Ce dernier aurait rencontré samedi, séparément, les délégués des deux organisations terroristes qui semblent tenir à son intervention. Pour le chef de l'AP Mahmoud Abbas, un arrangement entre Fatah et Hamas doit s'appuyer sur les accords du Caire et de la Mecque et sur l'initiative du Yémen.

Quant aux négociations entre Israël et les Palestiniens, des responsables politiques auraient confirmé samedi soir que le gouvernement israélien avait élaboré une première esquisse d'accord qui ne porterait toutefois que sur des questions secondaires concernant notamment les problèmes de l'eau ou de l'environnement.

Au sein du gouvernement israélien, on ferait preuve de "pessimisme quant aux chances de voir les pourparlers porter leurs fruits au cours de ces prochains mois", souligne Galei Tsahal, la radio de l'armée. Le général de réserve Amos Guilad, chef du département sécuritaire et politique au ministère de la Défense, a estimé pour sa part qu'aucun progrès n'avait été enregistré dans les pourparlers entre les deux camps.