Comme désormais chaque samedi à 17 heures Henri Guaino était présent sur le plateau de LCI pour s'exprimer sur les sujets d'actualités.
Aujourd'hui le sujet portait sur la violence de quelques individus durant la manif du jour, 400 à 500 disait-on, qui viennent régulièrement polluer les défilés pour casser, piller, bruler, en résumer créer de la violence et provoquer les forces de l'ordre, qui elles, sont chargées de protéger : LES PERSONNES ET LES BIENS !
En plus du contradicteur Romain Goupil qui doté de son expérience soixante-huitarde et fait référence d'expert professionnel dans l'art de la chamaille et de la contestation, étaient aussi présents deux policiers dont l'un s'exprimait au nom d'un des syndicats de police le SGP. (le replay n'étant pas encore disponible, je le publierai dès possible).
1° remarque l'émission s'apparentait plus à une radiophonie télévisuelle, qu'à un débat, (le nom de l'émission), télévisuel, fermons la parenthèse.
2° remarque ceux qui sont dénommés "black blocs" ressemblent plus à des voyous, des casseurs, des délinquants, certes organisés, dont le but est de créer le chaos pour tenter d'entrainer derrière eux une masse de suiveurs pour casser du "flic", des banques et autres vitrines à piller.
Manifester en France est un droit et personne ne le conteste;
Mais, manifester ce n'est pas tout détruire !
A en croire certains panneaux revendicatifs brandis et par ailleurs filmés, la dite revendication était claire : faire la révolution !
Bref toujours est- il qu'il est inadmissible que ces 400 à 500 personnes qui mettent régulièrement la pagaille le fasse en tout toute impunité et que des ordres soient données aux forces de l'ordre de tempérer sans qu'ils leurs soient possibles d'agir et donc d'arrêter ces délinquants illico presto.et manu militari.
Pour conclure et je tenterai de reprendre au mieux les mots prononcés par Henri Guaino
"Ceux qui sont au pouvoir qui ne prennent pas les mesures nécessaires pour protéger ni les personnes, ni les biens en laissant faire, ne sont pas dignes d'être au pouvoir."
Bavouzet Pierrick
Secrétaire général de Notre France
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