Campagne pour la primaire des Républicains de novembre 2016 pour l'élection présidentielle d'avril et de mai 2017:
Hier, j'étais présent au meeting du futur Président de la République française: François Fillon, a Sable Sur Sarthe. Nous sommes 3.000 alors qu au Touquet ils sont beaucoup moins et hier a Chatou ils étaient un peu plus de 2.200 !!! Ça ce sont le véritable sondage du peuple français ! La France de Voltaire; Diderot; Clemenceau; Michelet; de Gaulle; Mandel; Capitan; Seguin; Chaban Delmas; Jean Moulin et des Renard. La Nation française, un héritage a faire vivre au présent ! Nous devons renouer avec nos racines pour comprendre notre présent et pour préparer notre avenir...! Je rêve d une vie meilleure dans une France ou le mot bonheur aurait retrouver sens. François Fillon représente la raison face aux passions et aux illusions.
Je m'y suis rendu avec le TGV spécial, avec mes ami(e)s de St Denis: Evelyne Nicol et Henri Christophe Manga en direction de Sable Sur Sarthe pour le grand meeting de François Fillon. Nous sommes 750 dans le train !!! J'y ai retrouvé certains ami(e)s ou contacts comme: Patrice Calmejane; Jack-Yves Bohbot; Sebastien Kopec; Valérie Boyer; Pierre Deniziot; Jérôme Chartier; Bernard Débré; Isabelle Debré Cherif De Gabu Sarah; Florence Portelli et mon autre ami: le Président LR du 93, le Sénateur/Maire Philippe Dallier.
Voici, quelques extraits du discours d'hier de François Fillon:
"On a besoin d'un Président de la République qui guide le pays vers une transformation économique et sociale".
"Enfermer tous les fichés S sans jugement est ridicule. Contraire à ce qui fonde mon engagement politique."
"Le cri des Français c'est «on en a assez de travailler pour ceux qui ne travaillent pas !» ."
"Il y a aujourd'hui en politique un problème de probité. Si je suis président ce sera avec exemplarité."
"Lactalis ne peut pas laisser crever des agriculteurs qui travaillent !"
"Je ne suis pas un bonimenteur, un opportuniste sans convictions, un interprète d'un scénario écrit par les sondages"
"Ce n'est pas en votant de nouvelles lois qui remplaceront celles que l'on applique pas que l'on assurera la sécurité."
"Le pays est si difficile à réformer qu'il faut tout donner rapidement et ne pas se préoccuper de sa réélection"
"Puisqu'il faut un mot pour définir ce que nous sommes, [à l'identité] je préfère le beau mot de souveraineté".
"L’élection présidentielle ne peut pas se résumer à un débat sur le terrorisme. C’est le choix de l’avenir de notre pays, d’un modèle de société pas le choix d’un super ministre de l’intérieur."
"Je suis le seul à apporter une rupture sur le fond mais aussi sur la manière de gouverner (...) Je veux ouvrir significativement le gouvernement à la société civile."
"Depuis la roue a tourné et me voici avec ma liberté et ma volonté de vaincre."
"La France c’est 15 siècles d’Histoire depu is le baptême de Clovis à Reims.
La France c’est Saint Louis, Louis XI, Louis XIV, les révolutionnaires de 1789, Bonaparte, Napoléon III, la Troisième République, Gambetta, Thiers, Jules Ferry, Clémenceau, Jaurès, Poincaré, De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac. La France, c’est la fille ainée de l’Eglise et le pays des philosophes des Lumières. La France c’est une langue magnifique qui mérite d’être défendue. La France c’est une culture qui a marqué l’Histoire de l’humanité".
"Le 15 août j’ai célébré l’Assomption à l’abbaye de Solesmes voisine. Depuis plus de mille ans, des moines y observent la règle de Saint Benoît. Mille ans d’Histoire ! Comment ne pas ressentir la force, la puissance, la profondeur de ce passé qui nous a forgés et qui nous donne les clés de notre avenir. Renouer les fils de l’Histoire ! Retrouver nos racines pour comprendre notre passé et nous projeter dans l’avenir. Le monde a besoin de notre témoignage, de notre expérience accumulée au long des siècles pour trouver une voie entre la violence sauvage et la dictature de l’argent. Nous avons besoin d’être fier de notre pays pour franchir les obstacles que dressent devant nous un nouveau monde prêt à nous faire sortir de l’Histoire. Nous avons besoin d’être fiers de la France pour défendre son unité. Cette unité n’est jamais allée de soi. Les Rois de France, la République, l’Etat moderne ont bataillé pour l’imposer aux féodaux, aux adversaires de la révolution, aux églises, aux financiers sans patrie".
"Au printemps je me suis rendu en Iran. J’ai dit à l’ancien président de la République islamique, l’ayatollah Rafsandjani, qui contestait la présence des juifs en Palestine : « S’il n’y avait ait plus de chrétiens et de juifs au Proche Orient parce qu’ils en auraient été chassés, croyez vous que les peuples européens toléreraient encore des musulmans sur leur continent ? ». Si nous n’enrayons pas maintenant ce scénario infernal, c’est bien une troisième guerre mondiale qui va embraser le monde. Cette situation dramatique exige du courage, de la fermeté mais aussi du calme et de la force de caractère pour ne pas céder à toutes les provocations. Ce n’est pas en proposant après chaque attentat le vote de nouvelles lois pour remplacer celles qu’on n’applique pas que l’on assurera la sécurité des Français. Ce n’est pas en se précipitant à la messe du 15 août après avoir convoqué les photographes ou en courant au Vatican pour tenter de regagner quelques voix chez les catholiques après les avoir provoqués, maltraités et même parfois réprimés que l’on se montre à la hauteur de ce rendez vous de l’Histoire".
"En juillet 2012, j’ai appelé François Hollande à se rapprocher de la Russie pour trouver une issue à la guerre civile en Syrie. J’ai prévenu que la stratégie occidentale à laquelle la France s’est rangée conduirait au désastre. Nous y sommes...!"
"Je veux la dissolution immédiate de tous les mouvements qui se réclament du « Salafisme », du « Wahhabisme » ou des Frères musulmans et la clarification de nos relations avec l’Arabie saoudite et le Qatar qui abritent les penseurs de l’Islam radical et les sinistres promoteurs du « burkini ». A ce propos, comment croire à la sincérité de ceux qui nous promettent des mesures énergiques contre l’intégrisme mais qui ne remettent pas en cause leurs relations étroites avec des régimes qui en sont plus que les complices ? Moi je ne parle pas de lutte contre les communautarismes pour ne pas nommer le problème que nous avons avec l’Islam. Les catholiques, les protestants, les juifs, les bouddhistes, les sikhs, ne menacent pas l’unité nationale. Cessons donc de faire croire qu’il faut durcir les règles de la laïcité au prix d’atteintes inacceptables à la liberté religieuse alors que seule la poussée intégriste qui enflamme le monde musulman est une menace pour notre société".
"Je ne perds pas mes nerfs. Je ne participe pas au concours Lépine des solutions les plus stupides et les plus imbéciles, censées lutter contre le terrorisme. Non, enfermer des dizaines de milliers de suspects sans contrôle et sans jugement ne réduira pas le risque d’attentat mais l’aggravera. Non, l’Etat de droit n’est pas un obstacle à la lutte contre le terrorisme, c’est au contraire la meilleure arme contre les totalitaires qui en veulent à nos libertés. La menace terroriste appelle une réponse puissante mais elle ne nous dispense pas de moderniser la France pour donner aux Français, à la jeunesse, la fierté d’être patriote. L’élection présidentielle ne peut pas se réduire aux enjeux sécuritaires pour mieux oublier les 6 millions de chômeurs et les 2000 milliards de dettes. Je suis candidat à l’élection présidentielle parce que je ne veux pas que mon pays soit livré aux démagogues qui ne peuvent que le conduire au désastre. Je n’ai qu’un modèle en politique : celui du Général de Gaulle. C’est son image, son charisme, son autorité, son incarnation de l’Etat, son bon sens qui m’ont séduit adolescent. Je suis gaulliste ! La belle affaire me direz-vous : tout le monde est gaulliste aujourd’hui ! Encore faut-il s’entendre sur ce que cela signifie : être gaulliste c’est d’abord avoir une haute idée de la politique et de la France. Avoir une haute idée de la politique signifie que ceux qui briguent la confiance des Français doivent en être digne. Ceux qui ne respectent pas les lois de la République ne devraient pas pouvoir se présenter devant les électeurs. Il ne sert à rien de parler d’autorité quand on n’est pas soi-même irréprochable. Qui imagine le général de Gaulle mis en examen ? Etre gaulliste, c’est une conception de l’exercice du pouvoir et singulièrement de la fonction présidentielle. Notre Constitution ne fait pas du Président de la République un PDG et encore moins un sultan turc. Le Président de la République ne devrait pas être un Président de faits divers, prenant la parole à tort et à travers, usurpant la direction du gouvernement, multipliant les petites promesses démagogiques et occupant les rubriques mondaines. Depuis déjà un moment, les présidents de la République n’hésitent pas à violer l’esprit de la Constitution en rognant les attributions du gouvernement. Eh bien je veux que cela change ! Je suis candidat à la présidence de la République pour lui rendre sa dignité. Le Président doit être au dessus des débats quotidiens. Il doit veiller à la sécurité et à la tranquillité des Français, au bon fonctionnement des institutions. Il doit fixer le cap et les orientations et rendre au Premier ministre et au gouvernement la plénitude des fonctions que la Constitution leur a confiées. Oui j’exercerai la fonction présidentielle comme de Gaulle voulait qu’elle le soit. Avec dignité, avec grandeur mais aussi avec rigueur. Une nouvelle éthique républicaine est nécessaire pour rendre aux détenteurs de l’autorité l’exemplarité sans laquelle le pouvoir n’est pas légitime".
"Durant trois ans j’ai sillonné notre pays dans tous les sens. Je suis allé à la rencontre des agriculteurs, des médecins, des infirmières, des travailleurs sociaux, des artisans, des commerçants, des policiers et des gendarmes, des maires, des entrepreneurs, des enseignants. Tous m’ont dit à leur manière la même chose : Que l’Etat arrête de nous emmerder ! Laissez-nous travailler ! Faites-nous confiance ! Libérez-nous des normes inutiles, des charges exorbitantes, des impôts confiscatoires, des réglementations absurdes ! Libérez-nous du RSI, de l’URSSAF, des ARS, des diktats sans appels d’administrations qui ont oublié qu’elles n’existent que pour servir les Français et leur rendre la vie plus facile. Il suffirait de si peu de choses pour que la France retrouve confiance en elle même. Il suffirait que le travail soit justement récompensé. Il suffirait que les efforts soient justement répartis. Il suffirait que le mérite l’emporte sur les corporatismes et les réseaux. Il suffirait que la réussite redevienne une valeur. C’est ce cri de désespoir d’une immense majorité de Français lassés de travailler pour ceux qui ne travaillent pas, lassés de voir tous leurs efforts engloutis dans le fonctionnement d’un système social qui n’est ni juste ni efficace, qui a guidé la rédaction du programme que je propose aux Français. Les Français n’aiment pas la liberté disent mes concurrents. Pourtant ils ont fait la révolution pour elle !"
"La France, celle du sacre de Reims comme celle de la Fête de la fédération s’est construite dans une lutte permanente pour sa souveraineté contre l’adversité et contre les empires. C’est là son identité. Il n’y a en a pas d’autres et vouloir poser en permanence cette question c’est soit vouloir entretenir un faux débat qui masque l’absence patente de solution permettant au pays de se redresser".
"Je crois au progrès parce que je crois en l’être humain et en sa capacité à maîtriser par la raison ses passions et ses envies".
"Avant de nous séparer, j’ai encore une chose à vous dire. Elle est personnelle. Au moment de m’engager dans cette aventure grave qu’est l’élection présidentielle, je pense avec émotion à deux personnes qui doivent me regarder avec un mélange d’affection et d’inquiétude : Ma mère, que beaucoup ici ont connue et qui m’a toujours soutenu avec l’énergie incroyable qui la caractérisait. Philippe Séguin dont j’ai tellement souhaité qu’il soit le Président de la République Française, lui qui était tellement au dessus des autres, lui qui n’agissait que pour la France sans jamais placer ses ambitions avant l’intérêt général, lui dont la rigueur et l’honnêteté nous auraient évité bien des dérives. Aujourd’hui, à Sablé, je vous fais le serment de me battre pour vous donner la fierté d’être français".
C'est pour tout ça que moi: Jean-Pierre Renard, Conseiller municipal LR de Pierrefitte et surtout gaulliste (comme le fut déjà un certain Louis Renard il y a 60 ans !) que j'ai décider de me battre aux côtés et pour François Fillon. D'ici le courant du mois, son représentant pour l'ensemble de la Seine Saint Denis, le Sénateur/Maire LR des Pavillons Sous Bois et Président des Républicains du 93: Philippe Dallier viendra exposer et expliquer le programme de l'ancien Premier ministre, lors d'un nouveau café/politique sur Pierrefitte, ouvert à l'ensemble des pierrefittois sans la moindre exclusive (comme la primaire du 20 et 27 novembre prochain) et co-organisé par quelqu'un qui compte depuis très longtemps, sur notre circonscription...
JPR
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