Insécurité : l'UDR appelle au « quoiqu’il en coûte sécuritaire »
Chers amis, chers compagnons de l’UDR,
Après Lola, Thomas, Matisse, Philippine… La France perd à nouveau un de ses enfants : Nicolas, arraché à la vie dans des circonstances insupportables. Ce sont sa famille, ses amis, et toute une communauté qui se trouvent aujourd’hui plongés dans la douleur, l’indignation et l’incompréhension.
Ce drame aurait dû être évité. Il incarne l’échec de notre système à protéger les plus vulnérables et notre jeunesse.
Le meurtre de Nicolas nous rappelle une fois de plus l’urgence de restaurer l’autorité de l’État pour protéger nos concitoyens. Ce jeune garçon, à qui l’avenir tendait les bras, fut victime de la violence qui gangrène notre société. Il est intolérable qu’un pays comme le nôtre laisse prospérer de tels actes de barbarie, faute de mesures fermes pour garantir la sécurité de chacun.
Les chiffres officiels sont effrayants : la France compte désormais plus de 3 000 points de deals, 200 000 trafiquants en activité, pour un chiffre d’affaires de 5 à 6 milliards d’euros, soit autant que le ministère des affaires étrangères. En 2023, 418 personnes ont été tuées ou victimes de tentative de meurtre, soit plus d’une par jour !
Aujourd’hui, des territoires entiers échappent à l’autorité de l’État, sous fond d’enclave islamiste. Les trafics prospèrent, l’impunité devient la règle, et l’insécurité s’intensifie, parfois de manière dramatique. Ce phénomène n’est pas une fatalité ; il est la conséquence de décennies de laxisme, de décisions avortées et de la faiblesse de nos dirigeants.
Laisser la France se déliter ainsi, c’est abandonner les Français, c’est trahir notre devoir de protéger nos concitoyens et de préserver la paix publique.
À l’Union des Droites pour la République, nous refusons de voir notre pays livré au diktat des narcotrafiquants. Nous défendons un projet ambitieux, courageux et déterminé. Nous savons que cette guerre sera longue et périlleuse. Mais l’État doit être prêt à un « quoiqu’il en coûte sécuritaire », pour terrasser les criminels, assécher leurs sources de financement et pénaliser les consommateurs.
Notre combat est clair : un État fort et une justice implacable envers ceux qui menacent la sécurité des Français. Il ne faut rien s’interdire.
L’UDR continuera à porter haut ces exigences et à demander des actes concrets du gouvernement, pour que des drames comme celui de Nicolas ne se reproduisent plus.
Ensemble, nous bâtissons un mouvement fort et votre soutien est essentiel pour amplifier notre action et porter haut nos valeurs.
Avec toute ma détermination,
Fidèlement,
Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République (UDR)
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