La Gauche m'a tuer !
Réveillez-vous, la Gauche n’aime pas les jeunes !! Pour notre génération celles des 16-30 ans, la Gauche est symbole d’égalité, d’humanisme, de générosité, de social. Pour notre génération, il paraît normal d’apporter sa voix à la Gauche. Et c’est ce que nous faisons à 80 %. Notre génération se sent spontanément de Gauche, car celle-ci est censée défendre des valeurs qui nous touchent, celles auxquelles, nous les jeunes croyons et nous reconnaissons. Seulement qu’a fait cette Gauche durant ces 30 dernières années, après 19 ans passé au pouvoir ? Que dalle !! Si ce n’est la construction de quelques terrains de foot ou basket dans nos quartiers. Comme s’il n’y avait d’autre avenir que d’être un BENZEMA ou un Tony PARKER. Quelles avancées concrètes la Gauche a-t-elle apporté pour notre génération ? Aucune, si ce n’est « la précarité assumée », en nous cantonnant à des « emplois sur mesure », sous-payés dans la fonction publique comme ce fût le cas avec les emplois jeunes. La Gauche par sa politique anti-jeune nous a tué ! Elle nous a trahi dans l’action en nous prouvant que toutes ses grandes valeurs ne sont que des conneries ! Notre génération a payé pour le désamour de la Gauche pour les jeunes. Nous « les sacrifiés » avons souhaité nous réunir en collectif, le collectif « la Gauche m’a tuer » pour dénoncer chaque semaine la politique anti-jeune menée par la Gauche depuis 1981, tant au niveau national que dans les exécutifs locaux. La jeunesse se nourrie d’espoir et non de calamités »
Mike Borowski (Délègué UMP de la 1ère circonscription de Seine Saint Denis)
N'hésitez pas à aller consulter ce nouveau blog: http://lagauchematuer.fr/
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Chère amie, Cher ami,
Jeudi 10 février à 20 heures 30, Nicolas Sarkozy s’adressera à tous les Français sur TF1 lors de l’émission spéciale « Parole de Français ».
Ce sera un moment de vérité où le Président de la République pourra s’exprimer sur tous les sujets qui préoccupent les Français et expliquer le travail de réforme qu’il mène à bien avec le Gouvernement pour redresser et moderniser notre pays.
En dialoguant directement avec un panel de Français issus de tous les milieux, il pourra rappeler à tous nos concitoyens les fondements de sa politique, les défis auxquels notre pays doit faire face et les actions nécessaires qui doivent continuer à être entreprises pour que la France maintienne son rang de grande puissance économique et défende ses emplois.
Vous qui le soutenez avec force et fidélité, vous qui avez compris les enjeux et le courage que la situation de notre pays impose, vous serez les premiers à pouvoir relayer les messages qu’il adressera aux Français.
Je vous invite donc à réserver jeudi 10 février votre soirée pour la passer avec le Président de la République.
C’est un moment privilégié pour réunir vos proches et votre entourage afin d’échanger et de partager vos réactions sur les messages délivrés par le Président de la République.
Ainsi, avec votre soutien, nous serons unis pour faire face aux campagnes de désinformation et de démagogie orchestrées par l’opposition et relayées sans scrupule par certains medias.
Je compte particulièrement sur vous pour faire part de vos réactions et commentaires sur les différents sites d’actualités disponibles sur internet.
Je sais qu’il peut compter sur vous et votre engagement à ses côtés.
Secrétaire général de l'UMP
Notre-Dame de Lourdes - Fête le: 11 février
Mirat prince Sarrasin, dans son fort des Pyrénées résiste aux assauts de Charlemagne. Grâce à l’intervention secrète de notre Dame du Puy priée par son évêque, aumônier du roi, Mirat capitule, à condition, à condition que son territoire ne relève que d’Elle seule. Il se fait baptisé sous le nom de Lordat qui devient Lorde puis Lourdes.
Le 11 février 1858, Bernadette va chercher du bois dans les rochers de Massabielle. Elle entend un grand souffle de vent. Tout est calme et les arbres immobiles. Elle aperçoit une Dame de lumière dans le rocher, vêtue de blanc avec une ceinture bleue, la tête voilée et une rose jaune sur chaque pied, à son bras un chapelet blanc. Bernadette récite son chapelet tandis que la Dame égrène les dizaines.
Le 18 février, la Dame parle pour la 1ère fois »Voulez-vous me faire la grâce de venir 15 jours durant (…). Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde mais dans l’autre ».
Le 20 février Bernadette devient triste mais ne révèle rien de ce qu’il lui fut dit.
Le 23, dialogue de plus d’une heure, un secret seulement pour elle.
Le 24, devant 33 personnes, le visage de Bernadette est ravagé par la tristesse, elle se traîne au rocher, baisse le sol. La Dame dit « pénitence, pénitence, pénitence (…), priez pour la conversion des pécheurs ». Ce cri est comme un écho des paroles de Jean-Baptiste au Jourdain.
Le 25, la Dame lui dit d’aller boire sous le rocher, elle trouve dans la boue quelques gouttes d’eau, se met à creuser et peut en prendre davantage : l’eau jaillit.
Le 2 mars la Dame demande d’aller trouver les prêtres pour leur dire qu ‘Elle veut que l’ « on vienne ici en procession (…) et qu’on y bâtisse une chapelle ».
Le curé rabroue Bernadette et demande le nom de la Dame. Le 25 mars, en la fête de l’Annonciation devant des milliers de personnes, Bernadette récite son chapelet et réitère quatre fois sa demande. La Dame sourit toujours puis les yeux au ciel en attitude de prière, Elle lui dit qu’Elle est l’Immaculée Conception.B descend dans « la prairie « récite son chapelet et pour la dernière fois la Vierge Marie lui sourit.
Du monde entier les pèlerins, les malades affluent à Lourdes y trouver le réconfort. Les évêques de France s’y réunissent chaque année.
Le Pape Jean-Paul II, le 14 août 1983 déclare : « Il me semble qu’il y a une grâce particulière à Lourdes. Le message est sobre et clair, mais fondamental. Il a été transmis d’une façon spécialement forte, pure et transparente, par une adolescente à l’âme limpide et courageuse. Les signes sont simples : le vent qui évoque l’Esprit de la Croix, la Prière du rosaire… Ici, on prie, on aime prier, on aime se réconcilier avec Dieu, on aime l’Eucharistie. On fait une place d’honneur aux pauvres, aux malades… »
A la Toussaint 2001, 150 bannières invitées par la hiérarchie fêtent le centenaire de l’annonce par Léon XIII de la consécration de la basilique.
Association Bannières 2000 Le livre 2 des Bannières p. 152
Massabielle (vieille roche en patois).
Très sainte Mère de Dieu, Notre-Dame de lourdes, nous venons à vous, pour vous honorer par la prière du chapelet et pour contempler avec vous les mystères de la vie de votre Fils, ainsi que de votre propre vie .
Dans vos apparitions, vous demandez toujours pénitence, réconciliation et conversion, c’est-à-dire :changement de vie . Priez pour nous et avec vous, afin qu’à votre exemple, nous correspondions aux intentions que Dieu a sur nous
Prière de Marthe Robin pour la France
"O Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France. Préparez le cœur de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations, pour l'Eglise tout entière.
O Père, ô mon Dieu, que les cœurs de vos élus tressaillent maintenant à votre appel, reconnaissant votre voix, votre commandement, votre invitation à agir. Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission. Imposez-leur vous-même tout ce que vous voudrez de chacun d'eux et de tous. Que rien ne soit l'effet de leur propre choix mais uniquement de votre unique volonté d'amour. Vierge immaculée, ne les laissez pas s'égarer ni se tromper.
Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit. Cœur immaculé de Marie, priez pour nous.
Saints et saintes de France, intercédez pour nous."Marthe Robin (1902-6février1981), cité in "La France, textes fondateurs du roi David à Jean-Paul II", p.112 (éd. F.-X. de Guibert, Paris, 1996)
Pour la mairie de Paris : Guilad Shalit n ‘existe pas !!!
Le 28 janvier 2011, la Mairie de Paris a inauguré place de la République les deux immenses portraits de deux journalistes français de la chaîne publique France 3, Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière, otages en Afghanistan depuis 2009. Signe d’une solidarité affichée partiale, qui oublie notamment l’otage franco-israélien Guilad Shalit.
Ce 28 janvier 2011, les journalistes du service public audiovisuel français se réjouissaient en annonçant l’évènement : les grands portraits de leurs deux collègues otages « dans les geôles talibanes » avaient été accrochés lors d’une cérémonie en présence d’une cinquantaine de personnes, dont Anne Hidalgo, 1ère adjointe au Maire de Paris Bertrand Delanoë, Pierre Aidenbaum, maire du IIIe arrondissement de Paris, Jean-François Julliard, secrétaire général de Reporters Sans Frontières, et Jean-Louis Normandin, président d’Otages du Monde.
Neuf otages français
Une initiative du Comité de soutien Hervé et Stéphane ainsi que de la Mairie de Paris, peut-être soucieuse de se ménager les médias à l’approche desélections présidentielles et législatives (2012) et municipales (2014).
Et sur une place hautement symbolique : celle de la République située à la limite des IIIe, Xe et XIe arrondissements de Paris, et dont le « monument central fait de cette place parisienne le symbole incontournable de la liberté et de la paix » (dixit la Mairie de Paris).
Cette « initiative forte rappelle une nouvelle fois l’engagement de Paris pour la défense des Droits de l’Homme et de la liberté de la presse et s’inscrit dans la continuité de la mobilisation soutenue de 2010 » en faveur de ces otages.
Au centre d’artères animées de Paris, trônent désormais, et jusqu’à la libération de ces otages, de grandes photographies de ces deux journalistes avec cette mention : « Paris solidaire des journalistes – Stéphane Taponier, Hervé Ghesquière – et leurs trois accompagnateurs afghans, Mohamed, Gulam et Satar, enlevés depuis le 29 décembre 2009 en Afghanistan ».
Finalement, le « 4e pouvoir » avait eu raison de changer de stratégie.
Après avoir respecté pendant plusieurs mois une discrétion supposée favoriser l’issue positive de négociations en vue de la libération des deux journalistes, il avait décidé vers la mi-avril 2010 de rendre publiques les photos des otages. Ce qui les humanisait.
Puis, en juillet 2010, les journaux de France Télévisions avaient renoué avec la tactique rôdée depuis la prise en otages de journalistes français au Liban de 1985 à 1988 : rappeler à chaque édition du journal sur les chaînes publiques le décompte des jours de captivité de leurs confrères et accompagnateurs, car on n’est pas raciste.
Sur un ton grave, le ou la journaliste du JT déclare : « Cela fait x jours que nos confrères Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, ainsi que leurs accompagnateurs sont retenus en otages en Afghanistan. Nous ne les oublions pas, ainsi que les six autres otages français retenus dans le monde ».
Deux plus six font huit.
Huit otages français dans le monde ? Y’aurait pas comme une erreur de calcul ?
Voyons : deux journalistes en Afghanistan, plus cinq au Sahel, plus un en Somalie, plus le franco-israélien Guilad Shalit enlevé en Israël en 2006 et détenu dans la bande de Gaza par des islamistes palestiniens, cela fait neuf, et non huit.
Michèle Alliot-Marie, ministre des Affaires étrangères et européennes, a rappelé ce chiffre de neuf otages dans une interview au Figaro magazine, le 8 janvier 2011.
Et le 10 janvier 2011, Bernard Valéro, porte-parole du quai d’Orsay, affirmait la détermination de la France pour obtenir la libération des neuf otages.
Ce qui signifie que ces « belles âmes » omettent un Franco-israélien juif. Pourquoi ?
Pourquoi la direction de France Télévisions, le CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel) et la HALDE (Haute autorité contre les discriminations et pour l’égalité) n’ont-ils pas réagi ?
La franco-colombienne Ingrid Betancourt avait été prise en otage en février 2002 par les terroristes des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) alors qu’elle menait, comme citoyenne colombienne sa campagne électorale en Colombie. Et nombre de médias français ont soutenu la campagne de sa famille jusqu’à la libération de cette politicienne en juillet 2008.
Parallèlement, en France, de nombreuses actions ont visé à rappeler la captivité des deux journalistes français, à exercer des pressions sur les autorités politiques et du groupe audiovisuel public, à mobiliser l’opinion publique. Et l’affichage de ces portraits par la Mairie de Paris illustre l’efficacité du 4e pouvoir français.
Une efficacité mesurable aussi à son silence généralisé sur les incohérences et invraisemblances émaillant l’affaire al-Dura, dans laquelle sont impliqués Charles Enderlin, correspondant de France 2 à Jérusalem, et son cameraman palestinien Talal Abu Rahma.
« Races »
Nombreux sont ceux qui ont réclamé que la photo du franco-israélien Guilad Shalit, alors seul otage français, soit affichée sur le fronton de l’Hôtel de Ville de Paris comme celle de la franco-colombienne Ingrid Betancourt.
La Mairie de Paris a refusé, puis a apposé un panneau contre la façade de l’Hôtel de Paris soulignant son engagement « pour la liberté de tous les otages dans le monde » sous le rappel de l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits… »
Le 22 juin 2010, lors d’un rassemblement à Paris en solidarité avec le soldat franco-israélien Guilad Shalit et l’Etat d’Israël, si Anne Hidalgo avait été applaudie pour ses paroles de soutien à Israël, elle avait été interpelée par ceux réclamant un traitement égal pour leur compatriote otage dans la bande de Gaza.
Ce 28 janvier 2011, la Mairie de Paris a donc affiché une solidarité sélective. Car les droits de l’homme qui la motivent devraient aussi la conduire à accrocher les photos des autres otages aux côtés de celles de ces deux journalistes. D’autant qu’il y a de la place…
Ce fait est-il passé inaperçu des instances communautaires juives françaises ayant gardé le souvenir du vœu adopté en décembre 2008 par le Conseil de Paris et faisant de Guilad Shalit citoyen d’honneur de cette capitale? Peut-être. En tout cas, aucune n’a réagi officiellement à ce jour.
La date de cette inauguration est-elle fortuite ? Peut-être pas. En effet, cet évènement s’est déroulé trois jours avant la conférence de presse de presse à l’Hôtel de Ville de Paris destinée à annoncer le « rendez-vous historique à Auschwitz » organisé par le Projet Aladin, le mardi 1er février 2011.
Ce 31 janvier 2011, sous les ors de cette municipalité, Bertrand Delanoë, maire socialiste, a accueilli avec faste des responsables onusiens et africains liés à cet évènement en Pologne.
Présidente du Projet Aladin, Anne-Marie Revcolevschi a évoqué les « crises de la Côte d’Ivoire, de la Tunisie et de l’Egypte », mais s’est abstenue de prononcer le moindre mot sur son concitoyen et coreligionnaire Guilad Shalit, otage dans la bande de Gaza, limitrophe de l’Egypte.
Bertrand Delanoë s’est réjoui de cette prochaine réunion à Auschwitz, avec des « femmes et hommes de tous les continents, de toutes les races… »
Pendant une infime fraction de seconde, Bertrand Delanoë, tout surpris, s’est rendu compte qu’il avait émis un mot non « politiquement correct » : « races ». Mais, nul ne s’en étant offusqué, et notamment pas Abdoulaye Wade, président du Sénégal et de l’OCI (Organisation de la conférence islamique), Bertrand Delanoë a enchaîné comme si de rien n’était.
Que risquait-il ? Il était l’hôte, et le Projet Aladin, soutenu par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, souhaitait sa présence le lendemain au camp d’Auschwitz pour ce « rendez-vous historique ».
Et il a poursuivi : « Nous sommes unis pour refuser l’antisémitisme, le racisme, l’islamophobie, toutes les discriminations de quelque nature qu’elle soit ».
Oubli ? Manque de place dans le journal ? Magnanimité à l’égard d’un maire de gauche ayant fait afficher les photos de deux confrères otages ? Aucun journal n’a relaté le prononcé du vocable « race » qui, exprimé par le journaliste Eric Zemmour, le 13 novembre 2008, sur Arte, avait suscité l’ire demédias, d’associations et de « bien-pensants ».
Cette discrimination par des médias et la Mairie de Paris à l’égard de l’otage franco-israélien Guilad Shalit révèle les limites de la stratégie du comité de soutien à Guilad Shalit et d’organisations juives françaises visant à assurer un égal traitement à l’égard de cet otage juif franco-israélien.
Une discrimination en contradiction avec la devise républicaine française : « Liberté, égalité, fraternité ».
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