L’Alliance royale est une formation politique royaliste fondée en 2001 par Yves-Marie Adeline.
Elle est aujourd’hui présidée par Pierre Bernard, ancien député maire de Montfermeil, et par Cyrille Henrys, vice-président et ancien délégué général. Elle est dirigée par Olivier Leconte, l’actuel délégué général, assisté dans cette fonction par un conseil d’administration et un bureau politique.
Les membres de l’Alliance royale sont des citoyens français de bonne volonté désireux d’agir pour le bien de leur pays et considérant que la solution royale est la seule réponse possible à la profonde crise institutionnelle, politique, sociale et morale que traverse notre pays. Ils estiment que le discours politique ambiant tourne en rond en s’attaquant aux symptômes plus qu’aux maux parce qu’il est crispé dans la justification d’un système politique en faillite.
Erigée en parti politique en 2003, elle a pour objet de proposer, principalement par les moyens électoraux, des réformes des institutions, des lois et des politiques inspirées de l’héritage monarchique et d’une manière générale de faire resurgir dans le débat public français et international la question de cet héritage.
Son domaine d’action se situe à la fois sur le terrain des élections, du militantisme et de la réflexion politique ; elle présente en effet des candidats royalistes où cela est jugé opportun et a participé à la plupart des élections depuis les européennes de 2004 ; elle est constituée de délégations territoriales, réparties sur le territoire français, qui ont pour mission de fédérer les adhérents et d’entrer dans le paysage politique par leur action militante, médiatique et électorale ; elle a développé et continue de développer des propositions politiques concrètes pour un royalisme actualisé et adapté aux défis du XXIe siècle ; affranchie du carcan idéologique républicain, elle dispose, à ce titre, d’une totale liberté de pensée.
L’Alliance royale en tant que telle ne soutient aucun prince, considérant que ce rôle incombe à d’autres mouvements ; la désignation d’un successeur est d’ailleurs prématurée compte tenu de l’état des esprits ; elle ne sera pas le fait d’un parti politique et impliquera nécessairement tous les Français.
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