Que diable allait-il faire dans cette galère ?
On se demande bien ce que Biden est allé faire en Russie, singeant maladroitement les grandes rencontres de l’après-guerre, entre deux blocs alors surpuissants. Pour finir, l’entrevue du « titan » démocrate a accouché d’une souris. Tout ce cirque pour une ingérence électorale russe jamais vraiment avérée, des leçons de morale sur l’opposant Navalny et la question de l’Iran, à fleurets mouchetés, en forme de jeu de dupes. Les USA ne craignent plus l’importation du communisme et l’utilisation des arsenaux nucléaires de ces deux là nuiraient autant à l’un qu’à l’autre. La Russie est désormais un petit pays de 144 millions d’habitants, pas très riche. Et les Etats-Unis perdent graduellement du terrain sur la Chine. Les américains sont d’anciens Européens, les Russes sont des Européens et un vrai axe occidental, avec nous, ne serait pas de trop pour traiter d’égal à égal avec la Chine qui dévore tout sur son passage. Biden n’est pas Reagan et il faut désormais couper ses séquences de bafouillages, de sénilité, disent même des mauvaises langues. Il est temps de rapatrier les usines massivement exportées en Chine à une époque, de mettre sous le tapis des différends futiles et de recréer des alliances fortes entre pays de culture commune.
Pierre Duriot
Porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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