L'incohérence brésilienne, une de plus
Nombre de Français, en poste à Hong-Kong, se voient imposer systématiquement une quarantaine de deux semaines dans un hôtel proche de l’aéroport, afin de vérifier qu’ils ne sont pas porteurs du coronavirus. A la guerre comme à la guerre, sauf qu’il s’agit bien là de mesures de fermeté exceptionnelles, envers une minorité de gens d’affaires, afin d’épargner au territoire les affres d’une reprise de l’épidémie. Hong-Kong, c'est moins risqué que le Brésil et pourtant, le gouvernement Macron continue d’autoriser l’arrivée d’un vol quotidien depuis ce pays d’Amérique du Sud, où l’explosion de variants virulents fait crainte une recrudescence de l’épidémie, sous des formes plus graves. Les passagers sont simplement priés de présentés un test PCR négatif, alors même que l’efficacité de ces tests est discutable et que la circulation de tests contrefaits est monnaie courante. Tant d'incohérence, d'incongruité et de contradiction lasse, puis énerve. Ce gouvernement a pris acte et arrêté ces vols à haut risque qui n’ont que trop duré, et dont on se demande bien pourquoi ils ont échappé à la plus élémentaire des précautions..
Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français
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