NEYMAR
"J’ai été élevé dans une favela.
On n’a jamais eu une vie de luxe.
J’habitais chez ma grand-mère, nous étions 9 et nous dormions dans une petite chambre.
Mais ça reste un des meilleurs moments de ma vie.
Je jouais beaucoup avec mes amis dans la rue, cela a été un bon apprentissage.
Ma mère ne pouvait pas m’offrir de cookies ?
Dans un supermarché et je voulais des cookies.
Ma mère m’a dit que ce n’était pas possible, elle comptait l’argent. Alors, je lui ai répondu qu’un jour je serai très riche et que j’achèterai une usine de gâteaux. Elle a ri, mais elle a été triste..
Ma grave blessure en 2014 ?
Oui, cela a été un des moments les plus compliqués de ma vie...
La même lésion 2 centimètres plus loin, c’était fini.
Cela m’a beaucoup affecté.
Mon image de fêtard ?
Qui n’aime pas faire la fête ?
Tout le monde aime s’amuser. Je sais quand je peux faire la fête ou quand je ne peux pas, même si certains disent que je suis immature et que je ne sais pas ce que je fais.
Si on est à 100% dans le football, je pense que l’on finit par exploser, donc c’est une chose à laquelle je ne renoncerai jamais.
La fête, c’est l’occasion de se relaxer.
L’Institut Neymar ?
Il y a 3 000 enfants environ par an et on peut s’occuper de leurs familles.
Cela fait environ 10 000 personnes.
Nous sommes très heureux de les aider.
Il y a différents cours de langues, de sports.
Ce sont des activités pour aider les jeunes à se développer.
Il y a aussi un centre médical.
Ce que j’aime en France ?
La cuisine est très bonne, la Tour Eiffel est exceptionnelle.
Je reste bouche-bée à chaque fois que je la vois.
La météo n’est pas terrible, je n’aime pas le froid, mais on s’y habitue.
De quoi j’ai envie ?
J’aimerais bien avoir d’autres enfants.
Et professionnellement, je rêve de la Coupe du Monde et une autre Ligue des Champions.
Et tout ce que je peux gagner, je veux le gagner" ( T F 1 )
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