J'ai été questionné ce matin par l'une des adhérentes de Notre France sur le pourquoi nous ne nous étions pas exprimé sur l'affaire dite Duhamel.
Voici donc ma réponse : " je n'ai pas souhaité commenter, ni donner du poids à des dires d'un auteur, fusse t il apparenté à la victime, d'une affaire qui a été classée sans suite et on peut le déplorer et dont les faits, aujourd'hui sont prescrits par la loi.
Que diable cette famille si puissante n'a-t-elle pas dénoncé ces actes plutôt.
Telle est la vrai question."
J'aurai pu ajouter à cela, d'autant que cette famille si introduite, avait tous les moyens relationnels pour provoquer un émoi dans l'opinion politique et plus largement publique, ne s'étant pas privée de le faire pour d'autres sujets de moindres importances.
La Fontaine déjà disait : " Selon que vous serez puissant ou misérable Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir."
Les moralistes de la gauche caviar, ceux qui dénoncent pour les autres, mais pas pour eux mêmes ont volontairement caviardé de leur mémoire leurs beaux principes lorsque cela touche l'un d'entre eux.
Voilà sur la forme.
Sur le fond, ne connaissant pas le problème posé, je m'abstiendrai, tout en dénonçant vigoureusement de façon générale, des pratiques qui détruisent les valeurs morales de l'être humain et qui rejaillissent sur l'ensemble de notre société en la faisant glisser dangereusement vers la décadence.
Bavouzet Pierrick
Secrétaire général de Notre France
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