Une justice fantasmatique
L’affaire du tabassage du producteur est éclairante sur les ressorts judiciaires à l’œuvre en matière de racisme. La presse a écrit que la victime était noire. Précise-t-elle quand la victime est blanche ? Serait-ce moins grave quand un blanc est tabassé ? En tout cas elle n’en fait rarement grand cas. Pour les quatre policiers la qualification de « racisme » a été retenue, pour « sale nègre », ceci alors que les « sales blancs » ou les « face de craie », sont des classiques de leurs patrouilles en certains lieux, sans qu’aucun procureur ne bronche. Au RPF, comme un temps aux USA, nous instituerions les statistiques ethniques, pour les auteurs et pour les victimes, afin de savoir, dans ce pays, qui sont majoritairement les auteurs, mais aussi quelles sont leurs proies habituelles. Ethnicité également pour les violences policières, ou à l’égard des policiers. Qui sont majoritairement les victimes des coups des policiers, et qui sont les auteurs des coups contre les policiers et quels types de policiers. Aux USA, de telles statistiques faisaient apparaître, qu’en matière de meurtres, les noirs étaient les principales victimes d’autres noirs. Ceci afin que la justice évolue dans la réalité et ne relève plus du domaine fantasmatique matraqué par la presse.
Pierre Duriot
Le Porte-parole national du Rassemblement du Peuple Français
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