Il y a 50 ans, le dernier des géants français, nous quittait.
Très chers ami(e)s,
Très chers compagnons,
Aujourd'hui, c'est un jour et un anniversaire très important pour les gaullistes et petits-fils de gaullistes comme moi, il y a 50 ans jour pour jour, le Général de Gaulle nous quittait.
Je devais me rendre à nouveau à Colombey Les Deux Églises aujourd'hui en pèlerinage avec les Amis de la Fondation Charles de Gaulle (j'en suis un des adhérents). Malheureusement notre déplacement a été annulé à cause du nouveau confinement.
Il y a 3 ans je me suis rendu une nouvelle fois en pèlerinage sur les traces du Général de Gaulle à Colombey Les Deux Églises en compagnie de mon amie Do Quyen (vous pouvez retrouver quelques photos ci-dessus. Mon amie pose à l'endroit même ou le Général de Gaulle a assisté à la messe à l'église Notre-Dame de l'Assomption, la veille de sa mort). À la Boisserie, Do Quyen (qui a aussi comme prénom: Anne, comme l'une des deux filles du Général de Gaulle) a été très émue car elle a retrouvé un présent que son père Ambassadeur de la République du Vietnam du Sud non communiste, à Paris sous le Général de Gaulle, avait offert à ce dernier.
Vous pouvez aussi retrouver ci-dessus, le petit mot que mon Grand-père Louis Renard (il sera à nouveau très fier de son petit-fils… !) a reçu en 1965 du Général de Gaulle.
Je suis à la fois gaulliste et monarchiste (le Général de Gaulle avait envisagé pendant un temps, de faire du Comte de Paris son successeur).
Jean-Pierre Renard
Délégué Notre France pour la 1ère et pour la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis
Ancien Conseiller municipal Notre France, Les Républicains et gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Membre du Rassemblement du Peuple Français
Membre de l'UPF
Membre des Amis de la Fondation Charles de Gaulle
Membre du Cercle d'Action Légitimiste
Membre de l'Institut de la Maison de Bourbon
Ancien Membre du Comité départemental de l'UMP 93 puis LR 93 de 2002 à 2019
Ancien Secrétaire de la Commission Sécurité du CNIP
"Je veux que mes obsèques aient lieu à Colombey les Deux Églises.
Si je meurs ailleurs il faudra transporter mon corps chez moi, sans la moindre cérémonie publique.
Ma tombe sera celle où repose déjà ma fille Anne et où reposera ma femme. Inscription : Charles de Gaulle (1890-…).Rien d’autre.
La Cérémonie sera réglée par mon fils, ma fille, mon gendre, ma belle-fille, aidés par mon cabinet, de telle sorte qu’elle soit extrêmement simple. Je ne veux pas d’obsèques nationales. Ni président, ni ministres, ni bureaux d’assemblées, ni corps constitués.
Seules les armées Françaises pourront participer officiellement, en tant que telles ; mais leur participation devra être de dimensions très modestes, sans musique, ni fanfare, ni sonneries. Aucun discours ne devra être prononcé, ni à l’église, ni ailleurs. Pas d’oraison funèbre au Parlement.
Aucun emplacement réservé pendant la cérémonie, sinon à ma famille, à mes compagnons membres de l’ordre de la Libération, au Conseil Municipal de Colombey.
Les Hommes et les Femmes de France et d’autres Pays du Monde pourront, s’ils le désirent, faire à ma mémoire l’honneur d’accompagner mon corps jusqu’à sa dernière demeure. Mais c’est dans le silence que je souhaite qu’il y soit conduit.
Je déclare refuser d’avance toute distinction, promotion, dignité, citation, déclaration, qu’elle soit Française ou Étrangère.
Si l’une quelconque m’était décernée, ce serait en violation de mes dernières volontés".
(Charles de Gaulle, 16 janvier 1952)
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