Incendie de la Cathédrale de Nantes.
Décrit comme gentil et serviable, le bénévole a reconnu être l'auteur de faits !
Une interrogation cependant me turlupine, charité chrétienne, bonté, générosité, doit elle rimer avec imbécilité ?
En effet et pour avoir été chanteur aux clefs au sein de la Maîtrise de cette cathédrale dirigée par Monseigneur Besnier, il ne serait pas venu à l'idée de confier le clefs de ce monument historique à n'importe qui et c'est d'ailleurs pourquoi l'évêché confiait certaines tâches à des bénévoles triés sur le volet et très souvent issus des bonnes et vieilles familles nantaises qui de plus, étaient bien souvent de très généreuses donatrices.
68 n'a pas arrangé les choses et pour avoir passé ma prime jeunesse comme pensionnaire chez les frères, mes amis et moi même avons vécu concrètement un changement violent dans les comportements ecclésiastiques jusqu'à en instaurer un doute dans la foi que l'on nous enseignait !
Bref la désertion des rangs des fidèles ne s'est pas faite par hasard et elle coïncide curieusement avec la monté du dogme socialisme en France.
Depuis plus de trente ans la ville de Nantes est aux mains de ceux qui ont laissé voir encouragé le développement de la gangrène, en favorisant l'installation d'une migration désireuse de profiter un maximum de la société française.
C'est à Nantes qu'est née l'idée de communautarisme et les très nombreuses associations existantes et ruineuses pour la ville ne sont pas là par philanthropie, mais par pur intérêt politique et dont l'actuelle Maire socialiste est issue, comme beaucoup de ses camarades qui occupent des postes éminents d'ailleurs.
Alors dans cette triste histoire que nous vivons, qui doit on accuser le plus, celui qui a craqué l'allumette ou celui qui a fourni la boite ?
Il est grand temps de faire un grand ménage dans notre société, ménage moral et comportemental.
Bavouzet Pierrick
Secrétaire général de Notre France
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