Le BNVCA alerte par des lecteurs du Monde denonce la decision de l' Education Nationale de bannir le mot SHOAH au profit du terme inaproprie Aneantissement. Le BNVCA demande l'arbitrage du President de la Republique et du Premier Ministre.
BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L' ANTISEMITISME
8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 0663883029
Le President
Sammy Ghozlan
DRANCY LE 31 AOUT 2011
Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme recoit de nombreuses protestations de correspondants ayant appris par un article paru le 30 aout 2011 dans le quotidien Le Monde que l'Education Nationale bannit le mot SHOAH ,pour le remplacer par le terme totalement inapproprié "anéantissement".
L'émotion provoquee par cette nouvelle crée un reel malaise ,d'autant que le prétexte fallacieux,invoqué pour éliminer le terme Shoah de livres d'histoire , serait qu'il s'agit d'un mot étranger a la langue francaise qui pourtant contient des mots tirés de l'arabe comme"Toubib" ou d'autres tirés de l'hebreu comme "Tohu Bohu"," Capharnaum" Abracadabra"Diaspora"Annee Shabatique' etc etc...
Par contre le terme Nakbah utilisé par la propagande palestinienne pour faire croire que la création de l'Etat d'Israel constituerait une"Catastrophe"est bien noté dans ces mêmes livres d'Histoire
Le BNVCA comme ses nombreux requérants considere ces manoeuvres comme discriminatoires, inadmissibles,qui dénotent d'une volonté de certains fonctionnaires d'effacer ce drame de notre histoire .Pour le BNVCA il s'agit d'une faute grave qui relève du négationnisme et du révisionnisme.Le terme SHOAH, utilisé dans le langage courant et dans tous les discours officiels de commemoration , s'applique particulierement et justement aux 6 millions de victimes juives du nazisme et des ses collaborateurs .
Pour le BNVCA' les termes Génocide,et "anéantissement" sont totalement impropres et idadaptés , car trop généralistes, et surtout parce que le peuple juif n'a heureusement pas ete anéanti.
Le BNVCA demande Ministre de l'Education Nationale de bien vouloir donner a ses fonctionnaires des instructions précises et fermes de nature a redonner au mot SHOAH la place qu'il doit retrouver dans notre histoire, dans les livres déstinés à la formation et l'éducation des générations présentes et futures
Le BNVCA demande au Président de la République et au Premier Ministre d'intervenir dans ce dossier et d'y exercer leur autorité et leur arbitrage salutaire,afin de dédramatiser ce débat et rassurer nos concitoyens qui expriment le malaise profond généré par des decisions incoherentes,irresponsables et vexatoires.
Le BNVCA demande aux membres de l'Academie Francaise, et particulièrement a Madame Simone Veil d'inscrire officiellement le terme SHOA au dictionnaire de la Langue Francaise.
A LA SUITE DES AFFAIRES
1-DE NANCY OU UNE PROFESSEURE A ETE SANCTIONNEE POUR AVOIR UTILISE LE MOT SHOAH ET A ETE ACCUSEE DE FAIRE DU ZELE DANS SON ENSEIGNEMENT
2-DES EDITIONS HACHETTE QUI DIFFUSENT DES LIVRES D' HISTOIRE RELAIS DE LA PROPAGANDE PALESTINIENNE
3-LA VOLONTE DE BANNIR LE TERME SHOAH
4-LES NOMBREUSES AGRESSIONS RECENSEES DANS DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES
LE BNVCA A DECIDE DE METTRE EN PLACE EN SON SEIN UNE CELLULE D 'OBSERVATION EDUCATION NATIONALE qui transmettra ses informations et ses analyses aux autorités compétentes.
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