Le sionisme est abouti… vive Israël !
Le sionisme… que de passion déchaine ce mot aujourd’hui, combat pour les uns, honni pour les autres…
Merci à Denis, Philippe, Marc et Rubin...
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L’antisionisme réceptacle et alibi de toutes les haines antisémites contemporaines, se nourrit d’une doctrine politique vieille de 2000 ans, car contrairement à ce que peuvent développer des adversaires, plus souvent aveuglé par la haine que par l’analyse politique, le sionisme n’est pas né au 19ème siècle.
Depuis Titus, le dernier d’une longue série d’empereurs romains persécuteurs des juifs, ceux-ci n’ont jamais cessé d’alimenter, de développer, d’enrichir cette antique et néanmoins noble aspiration.
Car de quoi s’agit il en vérité ?, le retour à Sion, symbolisant les retrouvailles avec une terre, Israël, une ville, Jérusalem, que les juifs ont été contraint d’abandonner sous les brimades et les assassinats.
Contraint !!!, la est le centre du problème, à aucun moment il ne s’agit d’une immigration comparable à celle des peuples germaniques ou d’Asie centrale, non il s’agit d’une dépossession, d’une spoliation.
Il est d’ailleurs remarquable de noter que malgré cela, l’attachement viscéral de ce peuple cent fois massacré par des bourreaux de toutes origines, ne lui a jamais fait complètement abandonné sa terre, et, qu’il s’est toujours trouvé des juifs pour faire perdurer sur celle-ci la divine promesse reçue.
« L’an prochain à Jérusalem », prière reprise à l’unissons depuis ces exodes forcés par tout les juifs de la terre ou qu’ils se trouvent est la profession de foi du sionisme militant.
Depuis 2000 ans ce cri du cœur témoigne de la force et de la justice de cette cause.
Au vu de cela le sionisme peut se parer du titre de doyen des doctrines politiques, car si on ne peut nier sa dimension théologique, il serait encore plus malvenu de ne pas y voir sa dimension politique et son projet social.
Loin de toutes les remises en cause actuelles, fumeusement élaborées dans les laboratoires de la bêtise, de l’obscurantisme et de la mauvaise foi, remise en cause de la légitimité sur la terre, quant la stèle de Méneptah d’origine égyptienne fait mention du peuple juif sur la terre d’Israël en 1208 avant JC, quant les évangiles ne remettent pas en question l’appartenance de Jésus au peuple juif, ou encore quand le Coran lui-même fait à maintes reprise état du peuple d’Israël et de la terre qu’il occupe, remise en cause du peuple juif en tant que peuple, quand celui-ci est la base de toutes les grandes religions monothéistes actuelles…
Le sionisme à depuis 2000 ans rythmé et entretenu tout les espoirs des juifs a travers le monde.
L’impulsion finale du sionisme fut certes donnée au 19ème siècle sous la plume de théoriciens soucieux de redonner aux juifs une patrie, un sanctuaire leur permettant non seulement de vivre leur foi à l’abri de l’arbitraire et de l’intolérance, mais plus simplement de vivre tout court.
Relayé par des hommes d’actions désintéressés et convaincus, la longue marche du retour des juifs vers leur terre, qu’elle soit promise ou non ne changeant rien étant donné leur légitimité historique, commença à cette époque et suivi un cours tumultueux, sanglant et dramatique pour finalement aboutir à cette expérience unique dans les annales de l’humanité.
A partir de ce moment des vagues d’immigrations successives, toutes contrariées par les préjugés et l’opportunisme ambiants, permirent aux juifs du monde entier de retrouver leurs frères, trop peu nombreux qui n’avaient jamais quitté Israël.
Israël, un nom que tant de criminels ont honni au point de vouloir le rayer du vocabulaire des hommes, au point de débaptiser sa capitale, au point de disperser sa population, mais qui par la force du sionisme à travers les siècles s’est entêté à survivre, par ses traditions, par sa langue, par le souvenir de sa terre…
Aujourd’hui une réflexion s’impose, le sionisme est il toujours d’actualité ?
Dans les faits son but ultime déclaré est le retour à Sion des juifs, de tous les juifs ?, oui sans nul doute, Israël est un pays à la souveraineté pleine et complète, au dynamisme économique incontestable, et à la démocratie parmi les plus avancées.
Il en résulte que les juifs ne vivant pas encore en Israël, le font pour des motifs personnels, dans ce cas le rôle du sionisme abouti n’est il pas de proposer à ceux-ci la possibilité de pouvoir s’y installer à tout moment par un acte volontaire de leurs part.
La démocratie étant l’essence même de l’existence de l’état d’Israël, le simple fait à celui-ci de proposer aux juifs du monde cette alternative n’est il par une forme d’aboutissement du sionisme ?
Attachons nous à observer l’état de la diaspora, existe-t-il aujourd’hui dans le monde des communautés qui ne pourraient y accéder ?, ce n’est pas le cas dans les pays occidentaux, ni dans les pays d’Amérique latine, ce n’est plus le cas dans les pays arabes, profitant de « l’excuse » du sionisme pour se débarrasser et spolier « leurs juifs », ce n’est plus non plus le cas des juifs d’Europe de l’est, dont les derniers, les juifs russes ont profité pleinement de la fin de la guerre froide pour immigrer en masse en Israël, ni des juifs d’Ethiopie ou du Yémen sauvés d’une mort certaine par d’audacieuses opérations de sauvetage diligentées par Israël.
La seule communauté d’importance pouvant encore être l’objet d’inquiétude quand à sa survie est la communauté iranienne, or il s’avère que celle-ci reste relativement bien traité, malgré les fous dangereux au pouvoir à Téhéran et ne désire pas immigrer en masse.
Ce constat permet de décréter à mon sens la fin du sionisme dans sa dimension politique, si ce n’est théologique.
Plusieurs dates pourraient être retenues pour cet aboutissement.
1948 et la création de l’état d’Israël, permettait aux juifs de retrouver un foyer juste après le traumatisme de la seconde guerre mondiale, mais pouvait on parler alors d’aboutissement ?
La précarité de l’existence de l’état imposée par ses voisins arabes assurait elle aux juifs du monde entier un retour serein à Sion ?
1967 et la guerre des six jours, avec la libération de Jérusalem et la réouverture aux juifs des lieux saints du judaïsme, entrainant de facto et étymologiquement le retour à Sion assimilé à Jérusalem.
1973 et la guerre de Kippour qui vit la prise de conscience des arabes que leurs buts de guerre, la destruction d’Israël et le reflux des juifs « à la mer » selon le mot même de Nasser, n’était plus réaliste suite à leur énième défaite.
1989 et la chute du rideau de fer, libérant les juifs d’Europe de l’est et leur permettant d’accomplir leur Alhya, donnant à Israël une impulsion démographique assurant définitivement sa survie.
C’est cette dernière date qui retiens ma préférence, symboliquement elle marque le terme de la captivité de juifs de la diaspora dans un pays étranger, les autres dates sont à mon sens des étapes nécessaires dans le long et difficile processus de l’aboutissement de la doctrine sioniste.
Partout dans le monde on assiste à la mutation de l’antisémitisme traditionnel, notion généralement condamnable pénalement et ne bénéficiant pas du soutien de l’opinion publique, en antisionisme.
Personne n’étant capable de définir d’ailleurs en quoi le sionisme est condamnable en tant que doctrine politique, l’amalgame entre la politique actuelle du gouvernement israélien, que l’on y adhère ou non, et la pensée sioniste initiale, permettant moult raccourcis facile aux professionnels de la haine du juif.
En ce sens l’affirmation officielle de la fin du sionisme aurait pour mérite de rendre obsolète l’antisionisme par effet de miroir.
Comment combattre ce qui n’existe plus ?, comment justifier un combat d’arrière garde dont la seule affirmation confinerai au stupide ?
Les antisémites de gauche, de droite ou religieux, catholique comme musulman, devraient alors se battre contre l’histoire, qui est généralement têtue puisqu’elle substitue à la polémique la froideur des faits et leur analyse.
Question de sémantique répliquerons t’ils sans doute, mais qui a introduit le combat sur ce terrain en substituant l’antisémitisme à l’antisionisme tout en en conservant le même fond nauséabond ?
Israel aujourd’hui en permanence sommé de se justifier pour sa politique, jeu auquel heureusement il refuse de se soumettre, inverserait ainsi la mise en accusation en posant la seule vraie question importante : le sionisme n’existant plus que combattez-vous réellement ?
On en arriverait ainsi à disqualifier avec force tout les tenants du prétendu antisionisme, rivalisant d’imagination pour camoufler le véritable moteur de leur haine.
Systématiquement en leur opposant cette théorie de « l’aboutissement », qui n’est ni un abandon, ni un échec, mais au contraire un constat de réussite et de la justesse de la cause, nous prendrons un avantage philosophique mais aussi psychologique, obligeant les nouveaux antisémites à repenser entièrement leur stratégie d’attaque et à se mettre à nu quand à leur véritable motivation.
D’autres auront alors à se pencher sur la question, en France notamment, ou il s’est trouvé 35000 dégénérés pour voter en faveur d’une liste antisioniste !, car si le combat antisioniste est un leurre, et cette théorie de « l’aboutissement du sionisme » en fourniraient une preuve complète, cela permettrais sans doute de remettre en évidence la pensée sous jacente.
Or cette pensée, l’antisémitisme car il faut la nommer, est un délit pénal caractérisé, passible de peines de prison.
Nous parviendrions alors à faire le lien entre le détournement d’une pseudo liberté d’expression politique, l’antisionisme, et son assimilation totale à un comportement raciste et intolérant, l’antisémitisme.
Avec pour résultat la pénalisation de l’antisionisme.
Si une déclaration officielle d’aboutissement de la doctrine sioniste avait lieu, nous verrions alors un renversement complet de l’image d’Israël dans le monde pour plusieurs raisons.
D’abord parce que cela s’accompagnera d’analyses comparées avec d’autres doctrines qui ont toutes échouées et pour la plupart dans un bain de sang.
Ensuite parce qu’en mettant à jour les réelles motivations antisionistes ont constateras rapidement qu’il ne s’agit que d’une résurgence du passé le plus hideux ou le plus souvent le vert à remplacé le brun et le rouge, bien que ceux-ci n’y renonce pas.
Enfin parce qu’il obligerait les prétendus « antisionistes » à redéfinir le sens de leur combat, et à se positionner clairement sur l’idée qu’ils se font de l’avenir d’Israël, soit le droit de vivre paisiblement dans des frontières sures et reconnues, soit son anéantissement.
Devant l’embarras que cela ne manquerait pas de provoquer chez ces gens une grande part de leur crédibilité et de leur soutien populaire devrait disparaitre.
Sans compter l’aspect « don quichotte » se battant contre des moulins a vent, et le ridicule qui en résulterait, se battre contre une chose qui n’existe plus n’a jamais fait recette.
Le déficit d’image d’Israël dans le monde provient de son hypothétique intolérance vis-à-vis des palestiniens, rabâchée à longueur de médias bien pensant relayant ainsi les propos de dirigeants représentant la quintessence de l’intolérance et de l’arbitraire.
L’opinion publique comprendras que loin de défendre les intérêts des palestiniens, les antisionistes revendiquent surtout la haine du juif sous toutes ses formes, en particulier la prétendue arrogance d’Israël.
Que loin de rétablir une soi disant injustice, au nom de principes soi disant universels, mais alors que fait il de son engagement pour toutes les autres causes « nationales » autrement plus sanglante, l’antisioniste se drape dans sa lutte pseudo politique au nom de la liberté d’expression, pour dissimuler le plus vil des racismes.
Le sionisme est la doctrine ayant permis la renaissance de l’état d’Israël, se déclarer antisioniste est un acte remettant fondamentalement en cause le droit de celui-ci à exister.
Les arguments simplistes de ce que les antisionistes aimeraient voir appeler un argumentaire, usurpation, spoliation, apartheid, sont bien entendu infondés, mais le plus intéressant est de constater ou les mène cette réflexion, dans le meilleur des cas à l’établissement d’un état binational, comptant sur la démographie galopante de la population arabe pour faire disparaitre la prépondérance juive actuelle, ou dans le pire des cas du rejet total d’une quelconque influence juive dans la nouvelle « palestine » partie intégrante du dar al islam !!!
Cette obstination à ne pas voir perdurer le seul état de la région à faire vivre dignement, malgré des conditions quelques fois extrême, ses habitants par les antisionistes, alors même qu’il existe 23 états arabes et 72 pays musulmans dans le monde, la perspective de voir un seul état juif légitime vivant dans la paix et la sécurité leur renvoie une vision du monde apocalyptique ou toutes catastrophes serait issue de cet état de fait.
Qui ne garde pas en mémoire le souvenir de cette tirade sur le divorce, « derrière chaque divorce se cache un sioniste », d’un individu plus proche d’un personnage de dessin animé que d’un homme politique, se déclarant ouvertement antisioniste.
Par conséquent l’antisionisme ne permet pas la négociation, il revendique purement et simplement le droit à l’annihilation d’un état et de sa population, dernière doctrine depuis le nazisme a avoir de tels revendications.
Cette comparaison nous renvoie à l’obsolescence de l’antisionisme, pseudo combat avec 60 ans de retard, étrange concordance des époques.
Doit on en conclure que la fin du sionisme et de son cancer, l’antisionisme, marque l’interdiction de toutes critiques de la politique Israélienne ?, en aucun cas mais celle-ci devra se développer dans un cadre plus sain, sans l’objet de pressions émanant d’une certaine frange de la population ayant trouvé dans l’intolérance et le racisme un mode d’expression de ses frustrations sociales.
En cela encouragé par des pouvoirs publics atones, estimant cet exutoire comme un moindre mal et mettant au service de cette triste cause la puissance de son appareil médiatique, entretenant la haine, au mépris d’une frange de sa propre population (les juifs français).
Si critique de la politique israélienne il doit y avoir, elle doit se faire sans compter l’opportunisme de dirigeants occidentaux avides de contrats dans les pays arabes.
Enfin si critique de la politique israélienne, il y a, elle doit se développer à l’abri des considérations énergétiques.
Après tout n’est ce pas normal que l’on traite le conflit israélo-arabe, dans le même cadre médiatique ou diplomatique que des évènements en Chine, au Darfour ou même au pays basque ?
Enfin imagine t’on certaines ingérence actuelles dans les affaires actuelles, se produire au sujet de l’Irlande du nord ou même de la corse, sommes nous certain que la situation y soit totalement différente.
Y compris dans sa critique Israël doit être traité comme tout les autres pays du monde.
En assimilant le sionisme au pêché originel, « tout va mal dans le monde à cause du conflit israélo arabe », les antisionistes entendaient impliquer dans leur combat tout ceux qui auraient une raison légitime de se plaindre de leur situation.
En ratissant large et facilement les antisionistes rendent impossible toute appréhension du monde autrement que par le prisme du sionisme qui dans leurs esprits, et rejoignant ainsi les plus éculés clichés antisémites, dirige le monde et décide de son orientation.
A tel point qu’il voudrait donner, au mépris de la plus simple évidence, d’une impunité de la politique d’Israël par le simple fait que celui-ci soit un état juif.
Raisonnement vicieux, un de plus, car découlant sur une piètre réflexion du type, Israël est né de la mauvaise conscience occidentale au sortir de la guerre, établi sur le dos des palestiniens, et dispose avec le lobby juif de moyens de pression lui permettant de se maintenir en vie, sinon il y aurait longtemps que les glorieuses et efficaces armées arabes en aurait eu raison !!!
Hormis le fait que cette pensée découle d’un contre sens et d’une méconnaissance totale de l’origine du sionisme, qui a rappelons le à minima deux mille ans, on y retrouve les clichés habituels du lobby juif, du complot mondial, et même du négationnisme…
Or si la politique de tel ou tel gouvernement israélien est critiquable, au même titre que celle de n’importe quel autre gouvernement, critiquer le sionisme introduit dans le débat un non sens total et reviendrait en France à combattre le Bonapartisme, avant sans doute la dernière croisade contre les ligueurs du Duc de Guise !!!
Les sionistes, ou personnes se revendiquant comme tel, ne font elle pas alors une erreur fondamentale ?
En se revendiquant sioniste on accrédite la thèse de la précarité de l’existence de l’état d’Israël, puisque l’on considère que sa doctrine fondatrice n’est pas aboutie.
En ce fait on donne aux adversaires de l’état d’Israël la sensation que l’existence de celui-ci n’est pas encore assuré, puisque même ces partisans se sentent obligés de le réaffirmer en permanence.
En quoi l’aboutissement du sionisme minimise l’amour que l’on porte à Israel, au contraire il le renforce en affirmant sa foi et sa confiance dans l’avenir tout en restant fier de son passé.
Confiance dans l’avenir parce que maintenant que l’existence de l’état n’est plus négociable, ce qui est déjà le cas de facto pour une large partie de l’humanité, on peut se tourner pleinement vers son développement et entretenir avec l’ensemble de la planète des relations saines et profitables.
En restant fier de son passé car pour prouver la justesse et le fondé de sa cause, le sionisme dispose d’un atout incontestable : son bilan !
C’est en effet la seule grande doctrine politique ayant été promut au 19ème siècle qui a rencontré un vrai succès pour finalement aboutir à la réalisation de son projet.
Par conséquent les sionistes actuels ne verraient en rien la valeur morale et la justesse de leur combat diminué par la déclaration de son aboutissement.
Elle aurait enfin dans cette déclaration la reconnaissance de son bien fondé, au jour ou la remise en cause de l’existence de l’état d’Israël redouble de violence, les néga-sionistes aurait alors énormément de difficulté à justifier leurs positions qui reposent essentiellement sur le rejet de la doctrine sioniste.
Ils leur resteraient à expliquer pourquoi dénier à Israël le droit d’exister alors que ce pays a été légalement reconnu par le droit international, par un vote de l’ONU, ils resteraient à expliquer pourquoi dénier aux juifs d’avoir leur propre état quand par exemple celui-ci voisine avec 23 pays arabes, ils leurs resteraient enfin à expliquer comment 60 ans après la renaissance de l’état d’Israël des dirigeants d’autres pays se permettent de déclarer vouloir le rayer de la carte sans être mis au ban des nations…
La guerre actuelle, et au vu du rapport de force militaire sur le terrain, a été délibérément porté sur le terrain médiatique.
Une stratégie efficace de victimisation des palestiniens a été élaboré afin de masquer des buts de guerre inadmissibles et qui malgré des effets d’annonces à usage externe n’a jamais dévié depuis 60 ans.
A grand renfort d’argent, intéressante question de connaitre l’origine de l’argent finançant la propagande palestinienne, à grand renfort de relais, intéressante question de savoir pourquoi en France par exemple le Front National et le NPA ne sont d’accord que sur le conflit israélo palestinien, on a tenté de diaboliser la doctrine sioniste jusqu'à ces derniers mois entendre claironner des amalgames insupportables entre le sionisme et le nazisme.
Ces amalgames, fondés sur l’effet de manche nécessaire aux causes les plus faibles, ont été repris comme des leitmotivs par des hystériques saoulent de haine.
Mais peut-on haïr un pays sans haïr ces habitants ? Le fait que la majorité des israéliens soient juifs n’a-t-il pas été le moteur essentiel de la haine antisioniste ?
L’obsolescence du sionisme aura pour mérite de replacer cette haine sur son plan véritable et faire tomber le cache misère de la lutte politique pour appeler un chat : un chat, un raciste : un raciste, un antisémite : un antisémite !!!
Leur propagande sera alors complètement à redéfinir et devra se repositionner sur un terrain strictement politique, dans ce cadre elle perdra la quasi-totalité de son efficacité.
Une fois le sionisme, tant honni par nos prétendus interlocuteur pour la paix, déclaré abouti, un combat politique sain pourra s’engager, et débarrasser des scories de la haine viscérale à l’égard des juifs et d’Israël, leur fera comprendre que ces acquis pour le peuple juif sont devenus irréversible.
Politiquement la continuation d’une politique extrémiste appelant à la destruction d’Israël serait suicidaire et briserait des années de matraquage au profit de la cause palestinienne.
Cela obligera parallèlement les extrémistes palestiniens à envisager des solutions pour la paix, qui aujourd’hui fort de leur victimisation ne sont même pas à l’état de projet.
Il restera au cours de ces négociations à chacun d’œuvrer pour une paix juste et durable.
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