Qui n'a pas connu dans sa vie amoureuse ces moments de panique ou l'autre s'en va. L'autre qui était tout et qui soudain, n'est plus qu'un immense vide.
Face à ce gouffre béant, incompressible, gigantesque il y a comme un passage à vide de l’esprit.
Une allumette, une cigarette et de la fumée qui pique les yeux et vous fait pleurer au bon moment...
Nuages.
Par un de ces jours, un beau matin,
Avec un regard qui vague au loin.
Des pensées habillées de brume,
Que les heures, peu à peu, consument.
Des illusions, un nuage, des normes.
Elles sont comme toutes ces journées
Auxquelles, l’on donne des formes
Tant elles paraissent sans objet.
Le craquement d’une allumette,
La fumée d’une cigarette.
Il faudra bien redescendre dans la vallée.
Abandonner cette montagne sacrée.
Il n’y a jamais eu d’or dans ses flancs !
Le lit est vide, elle est partie à présent.
Le craquement d’une allumette
La fumée d’une cigarette
Des pensées habillées de brume
Que les heures, peu à peu, consument
Le son de sa voix pour une autre voie.
L’éclat de son rire devant mon effroi.
L’aperçue amère d’un immense désert.
Et la violence d'une étrange misère.
L’or n’était que du sable inépuisable !
Une immense comédie, une simple fable.
Elle n’avait rien dit ! Ni rien promis !
Le craquement d’une allumette
La fumée d’une cigarette
L’aperçue amère d’un immense désert.
Et la violence d'une étrange misère.
Elle n'avait rien promis! Elle est partie.
Face à ce gouffre béant, incompressible, gigantesque il y a comme un passage à vide de l’esprit.
Une allumette, une cigarette et de la fumée qui pique les yeux et vous fait pleurer au bon moment...
Nuages.
Par un de ces jours, un beau matin,
Avec un regard qui vague au loin.
Des pensées habillées de brume,
Que les heures, peu à peu, consument.
Des illusions, un nuage, des normes.
Elles sont comme toutes ces journées
Auxquelles, l’on donne des formes
Tant elles paraissent sans objet.
Le craquement d’une allumette,
La fumée d’une cigarette.
Il faudra bien redescendre dans la vallée.
Abandonner cette montagne sacrée.
Il n’y a jamais eu d’or dans ses flancs !
Le lit est vide, elle est partie à présent.
Le craquement d’une allumette
La fumée d’une cigarette
Des pensées habillées de brume
Que les heures, peu à peu, consument
Le son de sa voix pour une autre voie.
L’éclat de son rire devant mon effroi.
L’aperçue amère d’un immense désert.
Et la violence d'une étrange misère.
L’or n’était que du sable inépuisable !
Une immense comédie, une simple fable.
Elle n’avait rien dit ! Ni rien promis !
Le craquement d’une allumette
La fumée d’une cigarette
L’aperçue amère d’un immense désert.
Et la violence d'une étrange misère.
Elle n'avait rien promis! Elle est partie.
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